Articles de algermiliana
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Omra pour G.M
- Par algermiliana
- Le 31/03/2017
- Dans Le coin de Med BRADAI
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- Mais G.M, tu pleures ?
- Et oui, je pleure Fiston .Je pleure, je me vois dépasser cet âge où il m’était avant facile de marcher pour y aller n’importe où sans fatigue .Aujourd’hui je me vois dans un état financier autant que physique, qu’il m’est difficile de remplir mon cinquième piller de l’Islam.
- Mais G.M, notre religion dit « qu’il n’y aucune contrainte pour celui qui ne peut ou n’en a pas les moyens »
- Je sais fiston, mais j’ai tant cela au cœur que j’en rêve de ces lieux Sacrés la Kaaba et le Mesdjid Enabawi
G.M pleurait encore ; Je voyais qu’elle pleurait, elle pleurait de plus en plus à chaudes larmes essuyant de son beau châle blanc des larmes qui lui coulaient des yeux.
Et là G.M me dit fiston, je sais que si tu avais les moyens de le faire tu aurais pu m’offrir ce voyage alors ne te fait point de soucie pour ça.
J’ai pensé à tout cet argent que j’ai cumulé ici et là dans mon travail et cacher à son insu pour m’acheter un vélo.
Je lui ai dit G.M : il y a un bienfaiteur que j’ai rencontré par hasard qui m’a bien dit qu’il veut offrir une « Omra » à tout nécessiteux qui désire y aller aux lieux saints. Sur le champ Je t’ai proposée et tu sais ce qu’il m’a dit encore G.M « Alors dans ce cas-là vous allez faire ce voyage à deux, c’est-à-dire que moi aussi je fais partie du voyage et que je vais t’accompagner.
G .M était folle de joie à m’entendre dire cela, elle qui pleurait que tout espoir était fini pour elle. Est vrai ! Est-ce vrai Fiston !
Je me voyais pour la première fois faire quelque chose de bon dans la vie.
J’ai écrit cette histoire de G.M avec son bon consentement non pas avec cette belle encre Waterman mais j’ai dû choisir et l’écrire avec une encre de chine bien meilleur, c’est ce qui convenait à son gout et c’est justement dans cette optique que j’ai placé tout mon orgueil. -
Alger : La Mosquée neuve et la Place du Gouvernement
- Par algermiliana
- Le 29/03/2017
- Dans Arts & Culture
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Alger : La Mosquée neuve et la Place du Gouvernement / Toile de Charles de Coubertin 1848
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Peut on laisser prendre des risques ?
- Par algermiliana
- Le 26/03/2017
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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Permettre à nos enfants de prendre des risques, est une éventualité extrêmement difficile et dangereuse. Pourtant, ces écueils peuvent parfois s’avérer nettement fructueux et bénéfiques. D’un autre point de vue – il est préférable de s’en abstenir au vu de certaines situations. Alors, définissons ensemble ces périls. Quels sont ces types de risques qui sont alors dangereux ? A quel âge, peuvent-ils justement être tentés? De quelle nature sont-ils faits? Les parents ont-ils le courage et la détermination de laisser leur petit vivre ces expériences? Bien sûr que non. Les différentes épreuves de contrôle peuvent-ils vraiment apaiser et tranquilliser ces procréateurs et ou les faire totalement exterminer ? Mais de quel risque parle-t-on justement? « Couver » ou surprotéger les enfants ne sont-ils pas là également des risques graves et énormes à encourir ?
Laisser les enfants prendre des risques ? Est-ce une fatalité ? Une inconscience ? Une idée à encourager ? Ou bien tout simplement un dérapage grave et bouleversant à éviter!!! Le contenu de cet article, pourrait justement nous éclairer davantage sur ces éventuels risques…
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Emir Abdelkader
- Par algermiliana
- Le 21/03/2017
- Dans Le coin de Aziz OUDJIDA
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Le Dr. Harrie Teunissen (un ami), professeur d’Histoire à l’Université de Leiden, aux Pays Bas et qui a un intérêt particulier pour l’histoire de l’Algérie, précoloniale et particulièrement pour notre Emir Abdelkader. D’ailleurs en 2008, il a visité Mascara, le lieu de naissance de l’Emir, sa zaouia et tous les endroits où se sont déroulées les fameuses batailles de l’Emir contre l’occupant français : bataille de la Tafna, bataille de Mostaganem, bataille du Mactaa et bien d’autres. Il a aussi visité le musée et l’armurerie de l’Emir à Miliana. Mais aussi (important), il a visité tous les endroits en France, où l’Emir a été emprisonné, Toulon, Pau, Ambroise et enfin, il est parti à Damas en Syrie où l’Emir a aussi vécu, après sa détention en France, et où il s’est éteint. .
Il a pu récolter énormément de documentation d’époque, dont la copie d’une véritable photo de l’Emir, une carte d’Alger, début des années 1800. J’inclus aussi, à l’intention des historiens algériens et particulièrement Mr Ghebalou, les coordonnées du Musée National d’Ethnologie des Pays Bas, à toute fin utile.
Carte d'Alger
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En Automne 1968, Miliana fut ravagée par les flammes...
- Par algermiliana
- Le 17/03/2017
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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La nuit du 1er novembre 1968 fut terrible pour toute de la ville de Miliana, elle fut également dangereuse pour les citoyens venus à la rescousse pour éteindre ces nombreux foyers de brasiers. Avec les moyens du bord (mains, pelles, bâtons et souvent avec des rameaux) afin de circonscrire et ou pour venir à bout de ce drame.
Périlleuse par la disparition de leurs fils, les corps, en partie, et à moitié calciné, gisaient un peu partout, ils furent les premiers martyrs d’une Algérie indépendante. Ne sachant rien de ces énormes flammes qui atteignirent à certains endroits les huit mètres, ils se sont précipités en catastrophe, laissant tout derrière eux, pour sauver cette belle forêt du Zaccar Est qui ne cessait de les nourrir et de les chérir. C’était en fait une nuit terriblement tragique.
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Ayala Betsy, trahie et trompée...
- Par algermiliana
- Le 13/03/2017
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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Ayala Betsy, est une jeune américaine qui adore la vie et surtout sa famille. Mère d’une petite fille adorable. Ayala est une jeune maman, dynamique, pleine de ressources et d’espoir. Elle vivait avec son mari. Ce dernier fut la principale cause du changement radical de sa vie et cela en dépit de sa petite famille. Un jour elle découvre et apprend la chose qui allait modifier carrément son existence. C’était difficile et pénible cependant sa décision fut plus forte que toute autre chose.
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Ali Amrane, l'ancrage d'un chantre
- Par algermiliana
- Le 07/03/2017
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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Parler d’Ali Amrane, c’est aussi découvrir un jeune parolier, compositeur, interprète et chanteur de la chanson amazighte. Ce jeune prodige ne cesse de prouver, de gravir et de franchir les devants de la scène en un temps record. Alors que certains anciens y ont mis beaucoup de temps pour s’affirmer.
Ali Amrane, ce lutin et phénomène ne cesse de s’illustrer et s’améliorer afin de devenir un talentueux chanteur kabyle. Ses chansons mesurées et rythmées avec un style condensé et très percutant, arborant beaucoup de profondeurs dans la compréhension. Ces particularités ont, certes, marqué largement le public. Il possède cette propriété de préparer et d’improviser lui même ses textes. De les interpréter avec panache, avec une mixture enivrante qui laisse ses admirateurs enthousiastes, emportés et surtout sur leur faim. En dernier, distiller la bonne parole et fredonner ces mélodies qui n’arrêtent pas de séduire presque la totalité du pays et celle d’outre-mer.
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L'infaillible façon de faire rire un retraité
- Par algermiliana
- Le 04/03/2017
- Dans Le coin de Med BRADAI
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Milianah
- Par algermiliana
- Le 03/03/2017
- Dans Le coin de Aek FERHAOUI
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Il y a de ça 48 ans Milianah. Peinture sur toile de petit format collection privée "France" carnet de souvenirs.
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La rumeur…
- Par algermiliana
- Le 22/02/2017
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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La rumeur…
De nos jours, nos villes et nos villages sont devenus des localités calmes, peu agités sauf dans les endroits habituels comme les marchés, les aires de jeux ou les cafés maures. Sinon une tranquillité modérée et palpable avec un calme serein. De ces groupes voire de ces attroupements surgissent alors une sorte de camouflet et une sorte d’outrage à l’intelligence humaine. Ce sont les rumeurs qui sont émises et formulées, depuis la nuit des temps, à l’égard d’autres personnes. Des rumeurs colportées sur des individus de surcroit gratuitement du fait qu’elles ne peuvent être ni vérifiées ni confirmées. Elles surgissent, planent et se propagent comme l’éclair et parviendront à détracter et détruire les personnes susvisées.
La rumeur est devenue comme une monnaie courante. Elle alimente et nourrit, tous les jours, les coins et recoins de la ville comme ceux du village ou des quartiers avoisinants.