Articles de algermiliana
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Le temps d’une ivresse de jeunesse
- Par algermiliana
- Le 20/02/2017
- Dans Le coin de Med BRADAI
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Il s’en est allé vite, bien vite depuis longtemps ce temps de nos 10 ans à15 ans emportant avec, nos souvenirs pour que chacun essaie de s’en rappeler. Il est resté à jamais comme l’éternel temps qu’on doit évoquer et qu’avec lui parfois l’amertume de notre passé où jadis ses airs de chanson si joyeux sortis de notre souffle vaguaient dans l’air comme ces complaintes "ya Moustafa "« «, si tu vas à Rio ...»… » Et d’où se comptent parmi eux aussi tant d’autres que nous n’avions cessé à notre âge de fredonner leurs paroles comme des ménestrels.
C’était pour nous ce temps là qu’on pense maintenant, à celui d’une enfance enjouée. Nous étions jeunes…. Bien jeunes et insouciants pour connaitre ou comprendre la vie qui nous voyait grandir avec la folâtre d’humeur qui en nous ne nous fait pas rater une occasion propice pour rigoler tout le temps et à faire des blagues entre nous à longueurs de journées, si ce n’est surtout qu’il arrive, qu’on se consacre toute une semaine après l’école à grignoter quelques douros ou 20 frs dans la vente d’une B.D, déjà lue et ce pour la demi journée d’un Dimanche à un spectacle d’un film du 7ème art aux portes de la plus splendide et petite salle de cinéma de notre village d’antan qu’on appelait dans notre jargon villageois foyer rural. Il arrive qu’on se contentait parfois par manque d’un deuxième douro (5frs) du parterre cou tordu à l’arrière tête levée pour voir mieux une partie de l’écran juste au dessus de nos têtes.
A ce temps que nous voyons aussi loin de nous, rappelle ces passages incessants de véhicules et engins militaires dans les rues de notre tout petit village. Des fois on voit l’arrivée d’une jeep, d’un Dodge GMC ou celle d’un half track pointant à l’avant sa lourde mitrailleuse suivis une patrouille de soldats venant de la campagne feront leur entrée à la caserne du centre village et que nous nous trouvions à courir après chaque soldat juste pour un morceau de biscuit qu’on désirait tant ou un bâtonnet de ce chocolat noir. On évitait surtout ceux qui avaient leurs képis blancs, leur passage faisait toujours peur. C’était ce temps de jeunesse qui nous a vu grandir.
Et si on se rapporte aux jours des années que nous avions oubliés c’est à des photos jaunies par le temps mais qui elles ne vieillissent jamais qu’on sort des tiroirs et à nous rappeler en détails ce que comment vraiment nous étions jeunes.
Nos histoires de jeunesse enfantine regorgent de belles balades mais qui nous mènent aussi et toujours aux seuls endroits où nous nous sentions loin de la luminosité des deux garde-champêtres du village. Cette époque vécue par nous gosses fut dans ce temps vécue dans la jouissance comme dans la tourmente et la frayeur et pour nous en faire ces insouciants à courir partout dans une rue ou un chemin caillouteux à la recherche d’une histoire.
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L'érosion
- Par algermiliana
- Le 10/02/2017
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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L'érosion se produit lorsque la couche supérieure du sol est balayée par une force naturelle ou humaine, ce qui rend la pousse de nouveaux végétaux sur le site plus difficile. L'érosion peut transformer une terre riche et saine en un terrain aride et sans vie cela peut même provoquer des glissements de terrain et des coulées de boue. L'érosion se produit souvent sur les chantiers et sur les zones où le sol a été manipulé. Il existe différentes façons de contrôler l'érosion selon le type de terrain et la gravité de l'érosion.
L'érosion est un phénomène naturel qui peut s'avérer désastreuse lorsqu'elle est provoquée par l'homme. Pouvant avoir pour cause certaines techniques d'agriculture comme :
- La monoculture.
- L'agriculture intensive ou l'irrigation sur certains types de sols.
- Des techniques d'élevage comme le surpâturage.
- La déforestation (les racines contribuent souvent à stabiliser le sol et à empêcher l'érosion).
Elle peut également avoir comme effet des glissements de terrain, favoriser la désertification, l'aridification ou des menaces pour la biodiversité.
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Musique les tendres années "BEATLES"
- Par algermiliana
- Le 08/02/2017
- Dans Le coin de Med BRADAI
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La gestion des déchets
- Par algermiliana
- Le 30/01/2017
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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Tout le monde en est conscient, il en parle tous les jours de la réalité de ces innombrables déchets qui nous entourent mais personne ne semble gêné ni encore embarrassé ou du moins inquiet de voir non seulement ses enfants jouer tout autour. Les gens en sont totalement clairvoyant et perspicace néanmoins une espèce de conduite fourbe qui les a rendu tous placide, imperturbable et même inconscient. La gestion des déchets concerne tout le monde.
Le civisme existe mais uniquement dans expression verbale celui de la conversation sans pour autant opter pour le premier geste qui pourrait changer ces attitudes flegmatiques. La gestion des déchets semble être une chose courante et sans aucun encombre. Détrempez- vous, car il s’agit d’un travail véritable pénible et sans répits.
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Visite à notre cher Ami et Photographe MohaKhouya
- Par algermiliana
- Le 27/01/2017
- Dans Le coin de Med BRADAI
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Depuis bientôt une semaine que le ciel n’en a pas fini à faire déverser son eau pluviale pour une nature susceptible l’intercepter, battant aussi fort en outre toute surface construite à l’exemple du pavé des chaussées pour au mieux balayer et nettoyer ce qui reste des dernières traces d'une poussière d'été. C’était aussi une pluie bien froide, abondante obligeant chacun bon gré mal gré à garder le lit ou à rester tout près d’un feu.
Et c’est au cours de cette semaine pluvieuse, qu’un ami fort bien aimé de nous tous s’en est sorti indemne d’un bloc opératoire. IL est bien sorti de la clinique, et qu'actuellement au repos il est bien chez lui pour une convalescence.
Saviez-vous qu’il a eu ce mérite et le courage d’affronter à lui seul toute une équipe professionnelle de mécaniciens et d’électriciens pour tout simplement lui changer une conduite d’huile défectueuse dans son mécanisme. Ce n’est qu’après avoir endormi sa batterie qu’ils ont pu l’approcher et puis après âpres interventions, ils ont pu aboutir à confectionner au mieux sa force motrice qui lui sert dorénavant à entrainer sa charge.
Pour nous ses amis plus proches, avertis de cette panne subite qui l’a clouée au sol, il ne nous revenait qu’à lui apporter notre soutien moral et qu’il n’en sera qu’à lui seul à surmonter les conséquences de la réparation, il acceptait avec courage son sort. Il savait bien au début que c’était cette seule voie qui lui permettrait à bien faire fonctionner et tourner de nouveau les rouages de sa motrice.
Alors comme des spectateurs, nous étions là dans des gradins comme dans une arène à admirer dans une corrida un taureau blessé à mort à affronter la dernière charge du toréador.
A attendre aussi la fin du combat de ce duel final de la vie et de la mort d’un brave taureau dans une arène que le salut du taureau à sortir de l’arène en vie comme cette belle histoire qui s’illustre dans de belles pages d’un beau livre « les clameurs se sont tues » où un garçon sauve un taureau de la mort dans l’arène en demandant sa grâce au président. Pour notre ami elle n’est qu’à la grâce de Dieu.
A cette bonne nouvelle la moindre des choses pour nous ses amis, c’était d’y d’aller le voir et le réconforter pour toute sa bravoure à cette rude épreuve, lui rendre visite comme à tout malade et à lui souhaiter toute une bonne santé et prompte guérison.
Et voilà que par un mot passé entre nous « salamou alaikoum, comment va la santé, ça ne te dit rien si on rend visite à ce cher Djebbour dans un jour proche, il parait qu’il s’en est sorti et qu’il est déjà chez lui ? »
Cette visite eut lieu par ce temps très pluvieux et sitôt dit sitôt fait, nous étions prêts à prendre nos parapluies et décidés par un temps monotone qui comme des pèlerins à faire le chemin du philanthrope à ce cher ami Moha KHOUYA.
En bon hôte hospitalier, il nous ouvrit toute grande sa porte, et de notre nombre qui excédait la vingtaine, il en était tellement content. La bonne chaleur à l'intérieur ne manquait pas, qu’en cette circonstance Mohakhouya tout souriant n’arrêtait pas de nous dire « Al hamdou lillah » "Al hamdou lillah" louage et remerciements à Dieu. Il ne cessait de dire cela aussi à nos questions en ajoutant « je peux même marcher maintenant, et je me sens encore mieux qu’avant ». C’était un bon signe de santé alors pour nous de le voir déjà marcher.
En quittant Moha khouya, celui-ci remercia fort bien tout ce monde présent venu lui rendre cette aimable visite tout en recommandant à chacun qu'il sera le bienvenu chez lui chaque fois qu'il désire prendre un café. -
Divagations Footballistiques
- Par algermiliana
- Le 21/01/2017
- Dans Le Coin de Med LANDJERIT
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Bonjour à tous les anciens et anciennes des deux lycées, spécialement les sportifs et sportives toutes disciplines confondues.
Allez! Fi Khatarkoum, un petit intermède de sport et musique
P/S: Un clin d’oeil pour l’équipe de Basket juniors-séniors garçons 1971-1973 surnommé ( les pipos )
Allah Yerhamek ya Ghezzal
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Catastrophes naturelles
- Par algermiliana
- Le 18/01/2017
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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Tous les humains qui habitent l’univers savent ou du moins connaissent ce que veut dire vraiment une « catastrophe naturelle » Celle qui sévit à travers tous les continents. Par contre, ils ne savent, ni ne mesurent, peut être, pas l’ampleur et la portée des dégâts occasionnés. On entend discuter des catastrophes naturelles par le biais des nouvelles colportées un peu partout comme une trainée de poudre. Par différents canaux comme ceux des médias lourds. A l’annonce de ces turbulences, les yeux seront alors Braqués et rivés devant leur télé. Complètement consterné et totalement abasourdi devant la l’étendue des dommages provoqués et c’est tout !
Ensuite, c’est l’oubli. Cet oubli qui parvient, comme toujours, à supprimer, par intermittence, de notre mémoire, ces instants difficiles et pénibles. D’ailleurs cette déficience est et devenue une excellente thérapie. Autrement, si cela perdure, c’est l’anxiété, l’angoisse voire la détresse suivie peut être d’une perte de confiance totale. Le pourquoi et le comment de ces agitations. On ne le saura peut être jamais !!! Néanmoins, essayons ensemble de découvrir ce que sont les catastrophes naturelles ? Leurs origines ? Ainsi que les préventions qui peuvent les éviter où du moins les réduire ? Et, surtout parvenir à les éliminer ou bien connaitre avec exactitude leurs arrivées.
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Vue sur Miliana d'antan
- Par algermiliana
- Le 17/01/2017
- Dans Le coin de Aek FERHAOUI
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Vue de Miliana d'antan peinture sur toile collection privée à tous les amies et amis du site Alger-Miliana, et à tous les anciens élèves de M.Ferroukhi et anciennes de Med Abdou filles des années1969, carnet de souvenirs.
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L'effet de serre...
- Par algermiliana
- Le 12/01/2017
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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Apparemment, le système de l’effet de serre fut largement répandu et comparé, il fut même rapproché au procédé de culture des produits en agronomie « l’effet de serre ».
Pourtant le système d’effet de serre subsiste depuis des millénaires. Par contre, nos concitoyens ont commencé par le maitriser et le connaitre une fois le procédé d’effet de serre en agriculture fut adopté. Et, c’est pour cette raison que nous avons voulu aborder ce type de sujet afin que les suspicions des uns et les incompréhensions et les inaptitudes des autres doivent converger ensemble pour finalement aboutir dans une seule et unique compréhension qui est celle des deux procédés.