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Articles de algermiliana

  • Le cancer du col de l'utérus

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     Dr Abdallah Ayouni, médecin ayant obtenu le certificat d’études spécialisé en épidémiologie et en hygiène hospitalière au niveau de la polyclinique à la sortie ouest d’Ain Defla  ESPS (établissement de santé de proximité de santé de Djelida) au journal le Chélif :

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  • L'Algérien, adorateur du klaxon

    hebergement d'imageSi le klaxon n'existait pas, l'Algérien l'aurait certainement inventé, lui qui se contente de copier ou d'importer ce que les autres inventent. Parlant d'une voiture appartenant à un Algérien, vous pouvez raconter sur elle toutes les anomalies qui vous passent par la tête, personne ne vous accusera d'exagération, on vous écoutera avec une confiance béate et fascinée, appuyée par des hochements de tête approbateurs.

    Mais si vous rapportez qu'un jour vous êtes tombé sur une bagnole algérienne dont le klaxon ne fonctionne pas, on accueillera votre histoire avec une profonde grimace de doute, on tiquera. Instinctivement, les Algériens savent que la chose est impossible. C'est une connaissance innée.

    C'est ce qui explique pourquoi nos gendarmes et nos policiers ne demandent jamais à leur compatriote automobiliste de klaxonner. C'est que ces hommes qui suent pour notre tranquillité et notre sécurité sont profondément habités par la certitude que toutes les voitures du pays, même celles complètement déglinguées qu'ils voient passer de temps à autre dans les barrages qu'ils dressent un peu partout, sont munies d'un klaxon qui marche. De mémoire d'Algérien, depuis l'indépendance de notre patrie, jamais on a entendu parler d'une contravention dressée pour absence ou non fonctionnement d'un klaxon. Un Algérien peut rouler dans une voiture dépourvue de plaquettes de frein, ou sur des pneus lisses comme la tête d'un chauve, ou avec un tuyau d'échappement lâchant un nuage noir, étouffant et puant comme le serait celui d'un poulpe malade, mais jamais vous ne le trouveriez assis derrière le volant d'une voiture qui ne klaxonne pas.

    Dans une voiture au klaxon défectueux, l'Algérien se sentirait incomplet, très mal à l'aise et lamentablement frustré. Il serait plus sombre, plus morose et plus irritable qu'il ne l'est d'origine. La moindre étincelle le ferait exploser. Il n'y a qu'un seul évènement qui produirait en lui autant de dégâts : une pénurie de pain.

    L'Algérien adore klaxonner. Quand il est au volant, des démangeaisons furieuses rongent ses mains et les font bondir sur le klaxon au moindre prétexte. Il conduit, l'instinct aux aguets, et à la moindre occasion, il fait retentir son avertisseur, le visage tordu par une grimace de volupté. Le geste l'inonde de jouissance et apaise ses nerfs toujours hérissés. Mais comme tout plaisir, cette paix délicieuse ne dure pas, et bientôt les démangeaisons le reprennent, avec plus de férocité.

    Y aurait-il des Algériens qui ne seraient pas atteints de ce besoin tyrannique ? Peut-être. Mais n'essayez pas d'en rencontrer un ! On ne cherche pas une aiguille dans une botte de foin ! Si je ne craignais pas de vous froisser, je dirais qu'un Algérien qui se maitriserait devant un klaxon est aussi rare qu'un pied dans le corps d'un cul-de-jatte.

    Vous bougonnez. Ces propos vous déplaisent et vous perturbent. Je vous comprends. Vous voulez des preuves, je vous en donnerai. Ma cabosse en contient de quoi remplir des pages et des pages. C'est que je suis l'esclave d'une passion : Observer mes semblables. Mon plaisir à moi, mon bonheur, est de braquer mon attention sur les gens. Même ma mère n'échappe pas à cette curiosité aiguë qui s'éveille chaque fois que mes yeux tombent sur un être humain. Quels magnifiques trésors j'ai découvert ainsi, en observant, par exemple, nos automobilistes ! En voici quelques-uns.

    Commençons par le marchand ambulant. Dès qu'il pénètre dans une cité, à n'importe quelle heure de la journée, cet Algérien appuie sur le klaxon et le fait hurler sans répit, voluptueusement. De temps à autre, il quitte son véhicule et crie ses marchandises, mais il le réintègre très vite, il préfère klaxonner, assis au volant, une cigarette coincée entre les dents, pour accentuer le plaisir. Ne lui demandez pas de penser à ceux qu'il dérange avec sa sirène, vous le choqueriez. Sans ce vacarme, comment voudriez-vous que les gens sachent qu'il vend des pommes de terre ou des matelas ? Avez-vous une autre solution à lui proposer ? Hein ? C'est facile de faire des remarques aux gens, mais lui, le pauvre, le Destin lui a collé sept enfants sur le dos ? Et que peut-on contre le Destin ? Comment maintenant nourrir cette marmaille sans klaxonner ? Hein ? Allez-y ! Montrez-lui ! Sinon, laissez-le tranquille, que Dieu vous protège ! Et pour vous montrer qu'il n'a pas tort, que la vérité est de son côté, il klaxonne de plus belle, il hurle le nom de ses marchandises, avec acharnement, il se venge sur vos tympans. Il raconte cette injustice au client qui vient d'arriver, qui approuve bien sûr ses plaintes et lui donne raison. Car un Algérien a honte de contredire un autre Algérien, quelles que soient les conneries que celui-ci produit.

    En gros, notre marchand ambulant a deux manières de klaxonner. La première est celle qu'il utilise pour s'annoncer dans le quartier. Ce vacarme est un signal qu'il lance aux locataires pour signifier sa présence sur les lieux. La deuxième est plus délicate à décrire. Elle apparaît quand les clients se font rares. Ce n'est plus un signal mais un cri de colère répété. Le marchand exprime ainsi sa rage à ceux qui, incléments, sont restés blottis au fond de leur logis, sans aucun égard pour ses pommes de terre ou ses matelas. En klaxonnant furieusement, il quitte le quartier en ronchonnant contre les avares sans cœur qui le peuplent.

    Voici un deuxième exemple. Dans une file de voitures algériennes stoppées par un feu rouge algérien, tous les chauffeurs ont les yeux braqués sur l'appareil de signalisation, mais en plus de ce comportement qui pourrait paraitre ordinaire, et en dehors de celui qui occupe la tête de la colonne, ils ont tous la main sur le klaxon. Les mines attirent aussi l'attention. Si vous êtes un fin observateur, vous verrez que le visage du premier est déformé par une peur qui rappelle celle d'une personne qui s'attend à être frappée par surprise. Immobile, le pauvre fixe le feu sans un battement de cils, et on devine qu'il a le pied sur l'accélérateur comme pour fuir un danger imminent. Par contre, sur le visage des conducteurs suivants, tremblote un rictus angoissant qui s'explique à l'instant même où le feu passe au vert. A ce moment, un charivari de klaxons se fait entendre. Le premier de la file doit alors s'activer s'il ne veut que ses nerfs soient esquintés. Derrière lui, quelle que soit sa rapidité, ses frères sont mécontents et auraient aimé que leur klaxon soit prolongé par une longue aiguille empoisonnée avec laquelle il lui auraient piqué le dos avec beaucoup de plaisir.

    Cette scène se répète, mais d'une autre manière, quand la file de voitures est arrêtée cette fois-ci par un agent de l'ordre. Dans ce cas, le premier de la chaîne, bien qu'il est vrillé par le désir de klaxonner, fait en sorte que ses mains soient bien visibles par le policier, farde sa mine d'un sourire mielleux, et remplit son regard d'une innocence plus blanche que la conscience d'un bébé. C'est qu'il sait que bientôt les chauffeurs des voitures qui sont rangées derrière la sienne se mettront à claironner, et l'agent qui est devant lui est son compatriote, il a les mêmes nerfs fragiles que lui, et il a un pistolet. Se sachant à l'abri des yeux du flic, ces conducteurs souvent moustachus profitent de l'occase et font un tapage du diable, remplis d'une joie mystérieusement méchante. Pourquoi ? Dieu seul le sait. Il faudrait en allonger un sur le fauteuil d'un psychanalyste, mais un Algérien, même sous hypnose, ne peux pas éviter de dissimuler. C'est pourquoi une autobiographie écrite par Algérien ferait se suicider de jalousie un saint.

    Mais c'est le panneau stop qui révèle le mieux la passion de corner qui ravage l'Algérien. Là, travaillés par un sentiment obscur, les Algériens donnent des coups de klaxon d'abord espacés et brefs, puis de plus en plus rapprochés et insistants, exigeant du chauffeur du véhicule qui se trouve à la tête du cortège d'avancer. Y a-t-il des voitures dans la route dans laquelle débouche celle qu'ils empruntent ? Oui, et roulant le klaxon et le champignon écrasés. Mais alors comment s'explique ce comportement ténébreux ? S'agit-il d'un penchant inconscient pour les jeux macabres ? C'est une idée qui n'est pas bête. Désirent-ils que leur frère soit réduit en bouillie ? Bien sûr que non ! Comment osez-vous suggérer une réponse aussi sotte ? L'algérien est très complexe. C'est une énigme touffue. Celui qui se proposerait de le comprendre doit d'abord se vider totalement de la logique. Par exemple, un extraterrestre logicien qui a beaucoup voyagé à travers le monde, constatant l'absence de toilettes publiques dans notre pays, en déduirait que nous avons une coutume qui nous interdit d'évacuer nos déchets à l'extérieur de nos foyers, ou que nos excréments s'accumulent dans des organes plus volumineux que ceux du reste de l'humanité. Or l'explication est purement extra-logique : nous aimons retarder le dégorgement et profiter de l'instant de délivrance dans la paix du foyer. Chaque communauté à ses plaisirs.

    Mais il y a une situation où l'Algérien s'adonne à son plaisir de klaxonner jusqu'à l'épuisement et tranquillement : dans un cortège de mariage. Car dans ce cas, rien ne vient faire hésiter sa main et frelater sa joie, il peut jouer avec son klaxon le plus librement du monde, dans une délicieuse insouciance, encouragé par ses passagers et les lorgneurs stationnés sur les trottoirs, profitant au maximum de l'aubaine. Il klaxonne et reklaxonne, avec les yeux lumineux de celui qui est en train d'accomplir un exploit. S'il est marié, son épouse qui depuis longtemps ne ressent rien pour lui, l'aimera ce jour-là d'un amour plus juteux de celui qui dégouline des mamelles de son feuilleton préféré, et le lui montre en lançant des youyous stridents qui ont sur sa chair épuisée l'effet d'un soufflet sur des braises mourantes. Car les klaxons d'un cortège de mariage possèdent sur l'Algérienne un pouvoir étrange. Ils l'affolent et l'enflamment. Les innombrables cadenas qui parent son corps sautent l'un après l'autre. Une excitation nerveuse s'empare d'elle et l'échevèle. C'est dommage que le mâle algérien ne soit pas doté d'un klaxon naturel qui se déclenche automatiquement chaque fois qu'il est tourmenté par un besoin d'affection.

    Je pense que ces quelques démonstrations sont suffisantes. Sinon, sortez dans la rue et tendez l'oreille. Dans le tapage habituel, vous remarquerez très vite celui des avertisseurs. On klaxonne à gogo. Voici un semi-remorque qui hurle épouvantablement derrière une voiture qui escalade un dos-d'âne. Là-bas, deux voitures s'envoient des saluts en trompetant généreusement. De l'autre côté, un bus appelle les voyageurs en braillant. Ici, une voiture pousse des cris d'amour aigus vers une jeune fille. (Car l'Algérien est plus audacieux à l'intérieur d'une carapace.) Pas loin, un camion appelle quelqu'un à coups de clairon. Bref, vous avez le choix. Maintenant, pour terminer, je citerais une situation où l'Algérien évitera en général de klaxonner. Dans ce cas, il bride son désir et supporte bravement les terribles démangeaisons qui embrasent ses mains. Évidemment, si vous êtes un chauffeur algérien, vous avez deviné. C'est, bien entendu, lorsqu'un véhicule appartenant à la police ou à la gendarmerie le précède. Là, il est d'une gentillesse et d'un raffinement qui appellent le respect et l'admiration. Ça m'arrive souvent. Je reste peinard sur mon siège. Je sais que les hommes en uniforme qui roulent devant moi n'attendent qu'une chose : Que je klaxonne. Et pour adoucir ma rancœur, je rêve que je suis un général. Au revoir et bonne journée.

  • Italy bella

    Bonjour mes très chers(es) amis(es).
     La beauté dans ce document se conjugue au duel, celle des sites aux vues imprenables mais aussi la belle voix de PAVAROTTI.
     Je vous souhaite de passer d'agréables moments.

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  • T'as l'air d'une chanson

    Bonjour à tous

    Je voudrais vous faire écouter une chanson sublime. Les mots sont vains pour exprimer l'émotion et la poésie qui se dégagent dans cette interprétation magistrale de Serge Régiani.
       - Je la  dédie d'abord à ma femme,
       - ensuite à toutes les femmes qui sont sur le site,
       - et puis je pense à une femme, j'en suis pas certain qu'elle soit sur le site, mais si elle venait à le visiter elle se reconnaîtra. Je voudrais lui dire et à chacune de vous :tu es une chanson qui ne doit finir...Et j'aimerai bien avoir de ses nouvelles ainsi que de toute la famille.
    voici mon Émail au cas ou...
                  Bonne écoute et bonne journée
                  Cordialement
    le ziton

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  • L'ISLAM EST-IL INCOMPATIBLE AVEC LA LAÏCITE ?

    Ali abderraziq (1888-1966) théologien réformiste Égyptien avait écrit en 1925 un ouvrage très intéressant intitulé : AL-ISLAM OUA OUSSOUL EL-HOKM (L'ISLAM ET LES FONDEMENTS DU POUVOIR) paru dans un contexte de tensions, caractérisé par l’effondrement du Califat en Turquie et par les ambitions de la monarchie Égyptienne aspirant à récupérer le poste de Calife rendu vacant par Mustapha Kamel Attaturk.
    Dans cet ouvrage, il analyse la question, TOUJOURS D'UNE GRANDE ACTUALITÉ, des rapports entre ISLAM et POUVOIR en posant la question: le Prophète était-il un roi ?
    Le prophète répond il n'a pas été un roi avec un projet dynastique, il n'a, à aucun moment, prescrit de modèle politique. Il est un guide spirituel. " L'ISLAM EST UN MESSAGE DE DIEU ET NON UN SYSTÈME DE GOUVERNEMENT, UNE RELIGION ET NON UN ÉTAT."
    Ce docteur théologien d'EL-AZHAR écrit-il :
    " SES PRÉCEPTES POUR LE GOUVERNEMENT DES HOMMES N'IMPLIQUENT EN RIEN LES FONDEMENTS D'UN "ÉTAT ISLAMIQUE" QUI N'A JAMAIS EXISTE, PAS MÊME AUX PREMIERS TEMPS DE L'UMMA".
    La réflexion D'ALI ABDERRAZIQ aboutit à la reconnaissance de l'autonomie de la sphère politique vis-à-vis de la religion.
    Et l'auteur de conclure :
    " AUCUN PRINCIPE RELIGIEUX N'INTERDIT AUX MUSULMANS DE CONCURRENCER LES AUTRES NATIONS DANS TOUTES LES SCIENCES SOCIALES ET POLITIQUES. RIEN NE LEUR INTERDIT DE DÉTRUIRE CE SYSTÈME DÉSUET QUI LES A AVILIS ET LES A ENDORMIS SOUS SA POIGNE. RIEN NE LES EMPÊCHE D’ÉDIFIER LEUR ÉTAT ET LEUR SYSTÈME DE GOUVERNEMENT SUR LA BASE DES DERNIÈRES CRÉATIONS DE LA RAISON HUMAINE ET SUR LA BASE DES SYSTÈMES DONT LA SOLIDITÉ A ÉTÉ PROUVÉE, CEUX QUE L’EXPÉRIENCE DES NATIONS A DÉSIGNÉS COMME ÉTANT PARMI LES MEILLEURS ".
    Les OULEMAS D'EL-AZHAR condamnèrent ALI ABDERRAZIQ, CHEIKH EL-AZHAR et le déchurent de son grade de ALIM et de toutes les fonctions qui lui sont rattachées comme  l'enseignement et la judicature et retirèrent son livre de la vente.
    Cette même campagne touchera un an plus tard, l'ouvrage d'une autre grande figure intellectuelle de cette époque TAHA HUSSEIN FIL-CH R AL-JAHILI.
    ALI ABDERRAZIQ fut anobli par le roi en 1946 avec le titre de PACHA et occupa la fonction de ministre des AWQAFS dans la cabinet de ABDEL HADI en1947.
    Ce livre continue d'être un livre-référence dans la pensée arabe contemporaine. Il continue de susciter un débat de fond qui préoccupe nos sociétés actuelles surtout chez ceux qui pensent que l’Islam peut être sécularisé.

  • La fraternité en Islam

    Dans une société en quête de liens, le désir de fraternité pourrait-il faire cristalliser des aspirations, voire devenir un facteur de transformation du vivre-ensemble ?
    La question qui vient immédiatement est: quelle fraternité ? Celle de la simple réaffirmation de l'éxistence de liens privilégiés qui établissent entre certains une solidarité face à d'autres, sinon contre eux ? Celle d'un postulat d'une nature humaine unique que les frontières ou les distinctions peuvent certes mettre à mal, mais jamais annuler ni faire oublier ?
    Qu'exprime la tradition musulmane en la matière ? Quelle vision de la fraternité promeut-elle ? Et avec quelle pertinence, dans le contexte d'aujourd’hui ? Telles sont les questions que j'essaie d'aborder ...
    Le lien fraternel, dans le CORAN, est présenté comme un trait fondamental qui concerne toute l'humanité : tous les hommes sont descendants d'un premier couple et dés lors, tous, sont frères  de sang. En même temps, la condition humaine s'énonce dans un rapport étroit au Créateur. La dignité de tout homme se fonde dans la tradition musulmane, sur ce lien originel à Dieu que rien ne saurait remettre en question. Il y a là un point d'appui très fort pour penser l'unité de la famille humaine et, par conséquent, une fraternité de tous vis-à vis de tous, déjà là meme si elle a souvent  bien du mal à s exprimer.  " SI TU VEUX AIDER QUELQU'UN NE CHERCHE PAS D'ABORD EN QUOI, TU PEUX L'AIDER MAIS FAIS-LUI CONFIANCE ET MANIFESTE QUE TU AS BESOIN DE LUI ".

  • L'extrémisme

    Que dire de la secte AUM (mouvement fondé dans les années 80 par un gourou japonais aveugle), toujours au Japon qui au mois de Mars 1995, je me rappelle, chercha à précipiter l'apocalypse par une attaque au gaz sarin dans le métro de Tokyo, faisant 12 morts et 5000 blessés ?
    On pourrait multiplier ce type d'exemples. A san diego en 1997, 39 disciples d'une autre secte le groupe HEAVEN s GATE, apparu en 1993, persuadé que les extraterrestres nous attendent de l'autre côté d'une porte qui n'est autre que la mort, disparaissent en s'empoisonnant pour rejoindre dans l'au-delà, "les messagers des étoiles".
    Le 3 Novembre 2006, un célèbre musicien de jazz, Malachi RITSCHER bien connu pour ses improvisations sur les scènes de Chicago, s'immole en plein centre ville.
    Ces exemples peuvent paraître disparates, ils sont pourtant tous l'expression d'une PENSÉE EXTRÊME qui se manifeste par l'aptitude de certains individus à sacrifier ce qu ils ont de plus précieux (carrière professionnelle, liberté ....) et en particulier leur vie, et dans de nombreux cas celles des autres aussi, au nom d'une IDÉE...
    Ces individus adhérent inconditionnellement à un système mental et lui subordonnent tout le reste. C'est de l'irrationalité et de l'indignation. Devant ces explications, nous admettons volontiers, que la pensée extrême est la conséquence de la faiblesse psychologique des individus qui y cèdent, de leur désespoir personnel ou social, d'un manque d'éducation, voire d'une forme d'inhumanité et de psychopathie. C'est comme ceux qui adhérent à une secte et qui le font parce q' ils traversent un vide dans leur vie affective, c'est aussi ceux qui adhérent au terrorisme parce q' ils sont inspirés par des motifs religieux ou politiques en raison de la misère sociale et éducative .....
    La problématique c'est comment convaincre un croyant d'abandonner les idées qui sont les siennes ? Mais en ce cas, la seule voie pour ne plus être la cible d'une forme de ressentiment idéologique ne serait-elle pas pour l'Occident, de renoncer tout simplement à son leadership ..............?

  • La lumière est la seule réalité

    Bonjour a tous,

    Si, comme moi vous êtes amateur d'art sans être un grand connaisseur, je pense que vous apprécierez cet ouvrage.
    Bonne journée...
    Cordialement

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  • Calligraphie arabe

    Bonsoir mes chers(es) amis(es).
    Je vous adresse de magnifiques photos du festival de calligraphie de Abdelkader LABBIZE mais aussi de magnifiques photos de la Casbah.
    Je vous souhaite de passer d'agréables moments.

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  • Les accidents domestiques et l'enfant

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    Dr Abdallah Ayouni, médecin possédant le certificat d’études spécialisé en épidémiologie et en hygiène hospitalière  au journal le Chélif :

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