Articles de algermiliana
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Les Vents du Nord
- Par algermiliana
- Le 13/01/2015
- Dans Le coin de Mourad ZOUAOUI
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Depuis le début des années 2000, la question raciale a fait un retour virulent, corrélativement à l'essor d'un discours violemment islamophobe, dans les milieux des mouvances dites identitaires, c'est à dire dans les milieux fortement ethnodifférentialiste et néopaiens, et plus largement extrémistes de droite, tant en Europe qu'aux États-Unis. Souvent résumée à la défense de l'IDENTITÉ BLANCHE, cette question raciale travaille en profondeur les extrêmes droites occidentales. Ces thèmes ne sont pas une nouveauté : ils figuraient dans le programme électoral de Jean Marie LE PEN dès 2007.
Ainsi ces discours transforment la question de l'héritage ethnique et culturel en un enjeu à la fois social, politique et surtout civilisationnel. Il est donc capital de les analyser en profondeur, pour comprendre les enjeux sous-jacents et surtout les stratégies des groupes et des auteurs qui seront étudiés, c'est à dire la façon dont ils poursuivent leurs objectifs identitaires. Leur but est de faire prendre conscience à la population blanche Européenne, c'est à dire dans leur esprit, la population autochtone, de son ethnicité, de sa race, la race indo-européenne et de sa civilisation, afin de la défendre, la préserver et lui donner les armes pour assurer sa pérennité. -
Le cancer du sein et ses conséquences
- Par algermiliana
- Le 12/01/2015
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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Dr Abdallah Ayouni, médecin possédant le certificat d’études spécialisé en épidémiologie et en hygiène hospitalière nous parle du :
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Underground_city_of_DERINKUYU
- Par algermiliana
- Le 11/01/2015
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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Bonsoir à toutes et à tous.Je ne vais pas trop m'étaler sur cette superbe découverte et laisse à chacune et à chacun le loisir de commenter.Je vous souhaite de passer selon le cas, une bonne journée, une bonne après midi, une bonne soirée ou une bonne nuit. -
Tout le monde est concerné par la gestion des déchets domestiques
- Par algermiliana
- Le 10/01/2015
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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Le Dr Abdallah Ayouni, médecin possédant le certificat d’études spécialisé en épidémiologie et en hygiène hospitalière au niveau de la polyclinique d’Ain Defla se confie au journal le Chélif :La gestion des déchets ménagers pose de vrais problèmes aux autorités locales qui, d’une manière générale, n’arrivent pas à imaginer les solutions appropriées. Mais il y a plus grave, les parents inconscients envoient leurs enfants de moins de 12 ans sortir les poubelles. Un actez anodin qui n’et pas sans danger. Le Dr Abdallah Ayouni est l’un des principaux experts que consulte à chaque fois la radio locale d’Ain Defla lorsqu’il s’agit de parler des conséquences de la prolifération des décharges non contrôlées sur la santé publique.
D’emblée, le Dr Abdallah Ayouni met l’accent sur la nécessité de ne jamais céder cette gestion des ordures aux enfants. Des produits caustiques comme l’eau de javel, déboucheur, esprit de sel, bonbonnes d’aérosols, batteries de téléphones portables et des piles nocives, des débris de verre, des morceaux de porcelaines, des lames de rasoirs, des déchets organiques… » Explique le médecin, ajoutant que « la liste est très longue, surtout si le père ou bien un membre de la famille est bricoleur. Une liste que l’on ne peut jamais arrêter ni même maîtriser définitivement. » Il précise que l’emballage lui-même n’est pas adapté pour le transport de ces déchets vers les poubelles ou les bacs à ordures, parce que les sachets en plastique qu’on utilise pour cela ne possèdent point de résistance et peuvent céder à tout moment à cause du poids. Ainsi, l’enfant peut se blesser en sortant de chez lui. En effet, souligne, l’épidémiologiste, « à partir des escaliers, tous les dangers peuvent se manifester et être subis par l’enfant qui est chargé de la corvée des ordures ».
Et de faire noter que « les escaliers communs sont généralement sombres et pas éclairé, lorsqu’ils ne sont pas dans leur majorité défoncés et ou inclinés » La rampe d’escaliers elle-même peut être déglinguée et causer des accidents graves aux enfants : « l’enfant, par habitude, déambule et glisse le long de ces escaliers comme une véritable fusée tout en déversant la moitié du contenu n de son sac ».
Danger : épizooties
Des animaux tels que les rats, chats et chiens en quêtent de nourriture se cachent au niveau des escaliers. Salis par les détritus, les escaliers dégagent une odeur nauséabonde qui incommode les occupants de l’immeuble. Il a été constaté aussi que lorsque l’enfant arrive au niveau du bac, il lance de loin son sac à ordures vers la poubelle ou le bac, agrandissant ainsi le périmètre à ordures. Le bac à ordures est le lieu de prédilection pour toutes sortes d’animaux errants. Ils sont là en train de rechercher leur ration quotidienne d’aliments rejetés par les humains. L’enfant peut être mordu par un rat ou être griffé par un chat. L’enfant peut être aussi attiré par un jouet que son copain avait jeté. L’enfant peut tomber sur des objets tranchants qui peuvent le blesser. « Ce n’est pas de la théorie, c’est une réalité vivante, a été à maintes reprises signalés au niveau des centres de santé. Si ces animaux présentent des maladies graves, alors, l’enfant sera perdu. Il peut même salir ses mains et cela peut également provoquer des maladies transmissibles à défaut d’hygiène. Il oublie de se laver les mains, d’observer les règles d’hygiène et tout peut arriver. On expose l’enfant à de multiples dangers sans qu’on puisse s’en apercevoir, souligne le Dr Abdallalh Ayouni qui précise qu’une infinité d’accidents inimaginables est rapporté au niveau du centre de santé.
Le Dr Abdallah Ayouni, lance un message aux parents en leur conseillant de ne pas exposer inutilement leurs enfants aux dangers « il faut que les parents cessent d’envoyer leurs enfants de moins de 12 ans jeter les ordures et surtout tardivement le soir, conclut-il.
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Bettiya wach derti fya!
- Par algermiliana
- Le 01/01/2015
- Dans Le coin de Keryma
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Moralité : le monde est petit, mais la bettiya est grosse!
(juste pour commencer l'année dans la joie et la bonne humeur)
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Dessus_des_dessous_Paris
- Par algermiliana
- Le 30/12/2014
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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Mes chers(es) amis(es).
Je vous envoie PARIS vu du ciel en vous souhaitant mes meilleurs voeux de santé d'abord, de bonheur et de bien être à l'aube de l'année nouvelle 2015. -
Les habitants de mon ordinateur
- Par algermiliana
- Le 22/12/2014
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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La pétanque à Aïn-Defla
- Par algermiliana
- Le 21/12/2014
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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Ahmed Badji, président de la section de pétanque d’Ain DeflaLa pétanque à Ain Defla, est une discipline à la fois ludique et sportive qui avait marquée de son empreinte les trois villes de la wilaya d’Ain Defla, à savoir Khemis Miliana, Miliana et Ain Defla. Les trois cités ont acquis cette réputation depuis l’ère coloniale et cela dure jusqu’à nos jours. La pétanque ou bien le jeu long avait permis à certains joueurs comme d’autres de se distinguer en pratiquant le jeu court et le jeu long. Des titres, des coupes et des titres de consolation, il y’en eu. Certains l’appellent la pétanque, d’autres le jeu long et court. L’essentiel, c’est qu’on parle le même langage. Elle était devenue par conséquent une véritable culture dans la région. Egalement des diversités qui ont non seulement permis d’embellir les lieux mais surtout de faire rapprocher les gens et créer la joie et la gaité tout autour.
Ce jeu a permis non seulement d’égayer les lieux mais surtout de rapprocher les gens autour d’une discipline qui privilégie la concentration et la précision. Le cochonnet généralement, une petite balle de couleur marron, est la convoitise de ces boules qui brillent aux couleurs d’argent. Il est devenu, par conséquent, le centre d’intérêt de tous les joueurs, l’équipe qui fait rapprocher leurs boules le plus près du cochonnet est la gagnante. Un jeu qui demande beaucoup de sagesse et surtout beaucoup de concentration. Nous avons joints M Ahmed Badji, président de la section de la pétanque du SCD de la ville d’Ain Defla qui a bien voulu nous parler de sa section de pétanque, de ses problèmes, des titres et aussi de son parcours…
Quelle est la composante du bureau de la section de la pétanque du SCD Ain Defla
Ahmed Badji : Après les salam aliekoumainsi que la formule de bienvenue,M.Badji avait pris la parole en disant : Le bureau se compose de : Ahmed Badji, président de la section, Belkacem Kaddoun, entraineur, Mounir Boucherit entraineur adjoint. La discipline de la pétanque est un sport qui a fait son petit chemin à Ain Defla. Il est opérationnel depuis 1958 et cela jusqu’à maintenant. Des milliers de joueurs et dirigeants sont passés par le club. Nous la pratiquons du mieux que nous pouvons.
Est-ce que vous rencontrez des problèmes ?
Ahmed Badji : Enormément. Et beaucoup de choses manquent, à commencer par la subvention qui est totalement absente. Le manque de matériel d’entrainement fait également défaut. Ne parlons pas du manque flagrant de matériels (équipements) sans compter des frais de déplacements et des repas. Le maire, quelques entrepreneurs privés ainsi que la direction de la jeunesse et des sports (DJS) nous aident parfois en nous octroyant les moyens de déplacement, des boules pour l’entrainement, des coupes et certains équipements.
A combien s’élève votre subvention annuelle ?
Ahmed Badji : Entre 15 et 20 millions de centimes. Cette somme peut nous permettre de passer une saison sans problème, d’acheter les équipements nécessaires, les tenues, les cadeaux, les frais d’affiliation, les déplacements et la participation au niveau de l’ensemble des joutes. Mais en réalité, on ne perçoit même pas le ¼. Donc, nous sommes lésés par rapport aux titres ramenés. Chacun de nous, part amour, à ce sport se débrouille pour aider la section.
Pourtant chaque discipline possède sa cote part en argent ?
Ahmed Badji : Normalement, mais les données sont totalement inversées pour diverses raisons. Les responsables de CSA encouragent beaucoup plus la section football qui est un sport populaire à l’instar des autres sections. Ce qui est injuste, parce qu’en isolant certains joueurs d’autres sections, ils peuvent se passer d’un champion, d’un grand nom voir d’un titre…Si au moins, le football arrive à apporter ces titres et coupes, alors on penserait peut être autrement. Le football « bouffe » énormément d’argent sans pour autant avoir en retour un championnat ou bien une bonne figuration en coupe d’Algérie.
A propos des titres, en avez-vous acquis par votre section de pétanque ?
Ahmed Badji : On a plusieurs, vice-champion d’Algérie de 2006 à 2014. En 2010 (Belkacem Kaddoun, Fawzi Zerouati, Abdelhak Benali et Mohamed Sermoune) système 4 contre 4. En 2013 (Khaled Bouchakor et Bachir Boukrouz) système en 2 contre 2. Des titres également acquis à Ain Defla sous des tournois organisés à l’égard d’anciens joueurs décédés (Aissa Brahimi, Belgacem Zerouati) pour ne citer que ceux-là,
Dernier mot ou un message à transmettre ?
Ahmed Badji : La section de pétanque de la ville d’Ain Defla arrive à se maintenir grâce à l’apport de gens aimant cette discipline. Nous souhaitons que le CSA soit indulgent et assiste la section de pétanque. Cette dernière n’arrête pas d’honorer le club du SCD. Donc, nous souhaitons une aide particulière afin que la section soit plus présente à travers les compétitions et les tournois. Les joueurs sont nombreux, néanmoins les aires de jeux ne répondent pas à l’appel de l’ensemble des sportifs. La stratégie du sport à Ain Defla doit changer sa ligne en accordant aux sections leurs dus et surtout encourager les sections qui sont compétitives. Des champions, chaque année, passent inaperçus et cela dans tous les domaines.
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Vidéo époustouflante d'un PYGARGUE (Aigle)
- Par algermiliana
- Le 20/12/2014
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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Bravo à la personne qui a filmé ce pygargue ou aigle de mer.
C'est un aigle appelé aussi "orfraie" ou "grand aigle de mer"
- 1ère séquence : l'aigle attrape environ une demi-douzaine de poissons d'un seul coup.
- 2ème séquence : il plonge en profondeur pour capturer un poisson.
- 3ème séquence : il attrape un poisson qui semble aussi lourd que lui. -
Ce meuble a 200 ans
- Par algermiliana
- Le 15/12/2014
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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