Articles de algermiliana
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Tout le monde est concerné par la gestion des déchets domestiques
- Par algermiliana
- Le 10/01/2015
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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Le Dr Abdallah Ayouni, médecin possédant le certificat d’études spécialisé en épidémiologie et en hygiène hospitalière au niveau de la polyclinique d’Ain Defla se confie au journal le Chélif :La gestion des déchets ménagers pose de vrais problèmes aux autorités locales qui, d’une manière générale, n’arrivent pas à imaginer les solutions appropriées. Mais il y a plus grave, les parents inconscients envoient leurs enfants de moins de 12 ans sortir les poubelles. Un actez anodin qui n’et pas sans danger. Le Dr Abdallah Ayouni est l’un des principaux experts que consulte à chaque fois la radio locale d’Ain Defla lorsqu’il s’agit de parler des conséquences de la prolifération des décharges non contrôlées sur la santé publique.
D’emblée, le Dr Abdallah Ayouni met l’accent sur la nécessité de ne jamais céder cette gestion des ordures aux enfants. Des produits caustiques comme l’eau de javel, déboucheur, esprit de sel, bonbonnes d’aérosols, batteries de téléphones portables et des piles nocives, des débris de verre, des morceaux de porcelaines, des lames de rasoirs, des déchets organiques… » Explique le médecin, ajoutant que « la liste est très longue, surtout si le père ou bien un membre de la famille est bricoleur. Une liste que l’on ne peut jamais arrêter ni même maîtriser définitivement. » Il précise que l’emballage lui-même n’est pas adapté pour le transport de ces déchets vers les poubelles ou les bacs à ordures, parce que les sachets en plastique qu’on utilise pour cela ne possèdent point de résistance et peuvent céder à tout moment à cause du poids. Ainsi, l’enfant peut se blesser en sortant de chez lui. En effet, souligne, l’épidémiologiste, « à partir des escaliers, tous les dangers peuvent se manifester et être subis par l’enfant qui est chargé de la corvée des ordures ».
Et de faire noter que « les escaliers communs sont généralement sombres et pas éclairé, lorsqu’ils ne sont pas dans leur majorité défoncés et ou inclinés » La rampe d’escaliers elle-même peut être déglinguée et causer des accidents graves aux enfants : « l’enfant, par habitude, déambule et glisse le long de ces escaliers comme une véritable fusée tout en déversant la moitié du contenu n de son sac ».
Danger : épizooties
Des animaux tels que les rats, chats et chiens en quêtent de nourriture se cachent au niveau des escaliers. Salis par les détritus, les escaliers dégagent une odeur nauséabonde qui incommode les occupants de l’immeuble. Il a été constaté aussi que lorsque l’enfant arrive au niveau du bac, il lance de loin son sac à ordures vers la poubelle ou le bac, agrandissant ainsi le périmètre à ordures. Le bac à ordures est le lieu de prédilection pour toutes sortes d’animaux errants. Ils sont là en train de rechercher leur ration quotidienne d’aliments rejetés par les humains. L’enfant peut être mordu par un rat ou être griffé par un chat. L’enfant peut être aussi attiré par un jouet que son copain avait jeté. L’enfant peut tomber sur des objets tranchants qui peuvent le blesser. « Ce n’est pas de la théorie, c’est une réalité vivante, a été à maintes reprises signalés au niveau des centres de santé. Si ces animaux présentent des maladies graves, alors, l’enfant sera perdu. Il peut même salir ses mains et cela peut également provoquer des maladies transmissibles à défaut d’hygiène. Il oublie de se laver les mains, d’observer les règles d’hygiène et tout peut arriver. On expose l’enfant à de multiples dangers sans qu’on puisse s’en apercevoir, souligne le Dr Abdallalh Ayouni qui précise qu’une infinité d’accidents inimaginables est rapporté au niveau du centre de santé.
Le Dr Abdallah Ayouni, lance un message aux parents en leur conseillant de ne pas exposer inutilement leurs enfants aux dangers « il faut que les parents cessent d’envoyer leurs enfants de moins de 12 ans jeter les ordures et surtout tardivement le soir, conclut-il.
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Bettiya wach derti fya!
- Par algermiliana
- Le 01/01/2015
- Dans Le coin de Keryma
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Moralité : le monde est petit, mais la bettiya est grosse!
(juste pour commencer l'année dans la joie et la bonne humeur)
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Dessus_des_dessous_Paris
- Par algermiliana
- Le 30/12/2014
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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Mes chers(es) amis(es).
Je vous envoie PARIS vu du ciel en vous souhaitant mes meilleurs voeux de santé d'abord, de bonheur et de bien être à l'aube de l'année nouvelle 2015. -
Les habitants de mon ordinateur
- Par algermiliana
- Le 22/12/2014
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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La pétanque à Aïn-Defla
- Par algermiliana
- Le 21/12/2014
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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Ahmed Badji, président de la section de pétanque d’Ain DeflaLa pétanque à Ain Defla, est une discipline à la fois ludique et sportive qui avait marquée de son empreinte les trois villes de la wilaya d’Ain Defla, à savoir Khemis Miliana, Miliana et Ain Defla. Les trois cités ont acquis cette réputation depuis l’ère coloniale et cela dure jusqu’à nos jours. La pétanque ou bien le jeu long avait permis à certains joueurs comme d’autres de se distinguer en pratiquant le jeu court et le jeu long. Des titres, des coupes et des titres de consolation, il y’en eu. Certains l’appellent la pétanque, d’autres le jeu long et court. L’essentiel, c’est qu’on parle le même langage. Elle était devenue par conséquent une véritable culture dans la région. Egalement des diversités qui ont non seulement permis d’embellir les lieux mais surtout de faire rapprocher les gens et créer la joie et la gaité tout autour.
Ce jeu a permis non seulement d’égayer les lieux mais surtout de rapprocher les gens autour d’une discipline qui privilégie la concentration et la précision. Le cochonnet généralement, une petite balle de couleur marron, est la convoitise de ces boules qui brillent aux couleurs d’argent. Il est devenu, par conséquent, le centre d’intérêt de tous les joueurs, l’équipe qui fait rapprocher leurs boules le plus près du cochonnet est la gagnante. Un jeu qui demande beaucoup de sagesse et surtout beaucoup de concentration. Nous avons joints M Ahmed Badji, président de la section de la pétanque du SCD de la ville d’Ain Defla qui a bien voulu nous parler de sa section de pétanque, de ses problèmes, des titres et aussi de son parcours…
Quelle est la composante du bureau de la section de la pétanque du SCD Ain Defla
Ahmed Badji : Après les salam aliekoumainsi que la formule de bienvenue,M.Badji avait pris la parole en disant : Le bureau se compose de : Ahmed Badji, président de la section, Belkacem Kaddoun, entraineur, Mounir Boucherit entraineur adjoint. La discipline de la pétanque est un sport qui a fait son petit chemin à Ain Defla. Il est opérationnel depuis 1958 et cela jusqu’à maintenant. Des milliers de joueurs et dirigeants sont passés par le club. Nous la pratiquons du mieux que nous pouvons.
Est-ce que vous rencontrez des problèmes ?
Ahmed Badji : Enormément. Et beaucoup de choses manquent, à commencer par la subvention qui est totalement absente. Le manque de matériel d’entrainement fait également défaut. Ne parlons pas du manque flagrant de matériels (équipements) sans compter des frais de déplacements et des repas. Le maire, quelques entrepreneurs privés ainsi que la direction de la jeunesse et des sports (DJS) nous aident parfois en nous octroyant les moyens de déplacement, des boules pour l’entrainement, des coupes et certains équipements.
A combien s’élève votre subvention annuelle ?
Ahmed Badji : Entre 15 et 20 millions de centimes. Cette somme peut nous permettre de passer une saison sans problème, d’acheter les équipements nécessaires, les tenues, les cadeaux, les frais d’affiliation, les déplacements et la participation au niveau de l’ensemble des joutes. Mais en réalité, on ne perçoit même pas le ¼. Donc, nous sommes lésés par rapport aux titres ramenés. Chacun de nous, part amour, à ce sport se débrouille pour aider la section.
Pourtant chaque discipline possède sa cote part en argent ?
Ahmed Badji : Normalement, mais les données sont totalement inversées pour diverses raisons. Les responsables de CSA encouragent beaucoup plus la section football qui est un sport populaire à l’instar des autres sections. Ce qui est injuste, parce qu’en isolant certains joueurs d’autres sections, ils peuvent se passer d’un champion, d’un grand nom voir d’un titre…Si au moins, le football arrive à apporter ces titres et coupes, alors on penserait peut être autrement. Le football « bouffe » énormément d’argent sans pour autant avoir en retour un championnat ou bien une bonne figuration en coupe d’Algérie.
A propos des titres, en avez-vous acquis par votre section de pétanque ?
Ahmed Badji : On a plusieurs, vice-champion d’Algérie de 2006 à 2014. En 2010 (Belkacem Kaddoun, Fawzi Zerouati, Abdelhak Benali et Mohamed Sermoune) système 4 contre 4. En 2013 (Khaled Bouchakor et Bachir Boukrouz) système en 2 contre 2. Des titres également acquis à Ain Defla sous des tournois organisés à l’égard d’anciens joueurs décédés (Aissa Brahimi, Belgacem Zerouati) pour ne citer que ceux-là,
Dernier mot ou un message à transmettre ?
Ahmed Badji : La section de pétanque de la ville d’Ain Defla arrive à se maintenir grâce à l’apport de gens aimant cette discipline. Nous souhaitons que le CSA soit indulgent et assiste la section de pétanque. Cette dernière n’arrête pas d’honorer le club du SCD. Donc, nous souhaitons une aide particulière afin que la section soit plus présente à travers les compétitions et les tournois. Les joueurs sont nombreux, néanmoins les aires de jeux ne répondent pas à l’appel de l’ensemble des sportifs. La stratégie du sport à Ain Defla doit changer sa ligne en accordant aux sections leurs dus et surtout encourager les sections qui sont compétitives. Des champions, chaque année, passent inaperçus et cela dans tous les domaines.
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Vidéo époustouflante d'un PYGARGUE (Aigle)
- Par algermiliana
- Le 20/12/2014
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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Bravo à la personne qui a filmé ce pygargue ou aigle de mer.
C'est un aigle appelé aussi "orfraie" ou "grand aigle de mer"
- 1ère séquence : l'aigle attrape environ une demi-douzaine de poissons d'un seul coup.
- 2ème séquence : il plonge en profondeur pour capturer un poisson.
- 3ème séquence : il attrape un poisson qui semble aussi lourd que lui. -
Ce meuble a 200 ans
- Par algermiliana
- Le 15/12/2014
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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Double Vision
- Par algermiliana
- Le 13/12/2014
- Dans Le Coin de Le ziton
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L'art est un mensonge qui nous permet de dévoiler la vérité.Alors regardez bien et dites ce que vous voyez -
202 bis de la rue de Lyon
- Par algermiliana
- Le 13/12/2014
- Dans Le Coin de Le ziton
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Bonjour Chantal,
voici quelques photos du 202 bis de la rue de Lyon a Alger, actuellement rue Mohamed BELOUIZDAD à Belcourt. -
KBS, groupe de danse moderne à Aïn Defla
- Par algermiliana
- Le 13/12/2014
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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Zakaria Hadj Ahmed, chorégraphe et danseur
du groupe KBS de danse moderne« Nous croyons en ce que nous faisons et c’est là notre force »
Le groupe KBS de danse moderne d’Ain Defla est en train d’émerger sur la scène artistique nationale. D’ailleurs, il n’en finit pas de parler de lui puisqu’il vient d’obtenir une consécration international de danse moderne d’Alger. Nous avons contacté M Zakaria Hadj Ahmed, chorégraphe et danseur du groupe KBS qui a bien voulu répondre à certaines de nos questions et nous éclairer sur ce qu’on entend par danse contemporaine.
Le chélif : Pouvez-vous présenter votre groupe à nos lecteurs ? Et, que signifie l’acronyme KBS ?
Zakaria Hadj Ahmed : Je m’appelle Zakaria Hadj Ahmed, né le 13 septembre 1990 à Ain Defla. J’ai suivi toutes mes études primaires, le moyen, le lycée à Ahmed Allili (Ain Defla), le Bac obtenu en 2011, inscrit au niveau de jusqu’au lycée à Ain Défila,où j’ai obtenu le bac en 2011.Je me suis inscrit au nieau de l’université de Khemis Miliana et actuellement je suis en 2 ième année spécialité sport. Notre groupe se compose de : Salah Eddine Bessekri, Oussama Chérif, Khaled Tarchoune, Mustapha Titaouni, Abderzak Karbouci, Soria Mahmoudi et Hasna Soualah. Tous des étudiants. La dénomination KBS est : Kill (tue), Beats (Rythme), Slaowly (mouvement lent).Nous avons baptisé ainsi notre groupe parce qu’il possède une certaine résonnance : il ya le silence, le rythme et les mouvements lents
Le chélif : Peut on connaitre vos débuts et qui vous a orienté dans la danse contemporaine ?
Zakaria Hadj Ahmed : En 2004, notre groupe s‘initiait aux arts martiaux (Kung Fu), le théâtre…On se cherchait, on était là, on existait, on voulait faire pleins de choses. on avait la patience, le courage et l’endurance mais ce qui manquait c’était l’orientation, il n’y avait personne qui pouvait nous dire que ce sport ne nous allait pas, cette chorégraphie également. Il manquait de personnes adultes qui pouvaient nous orienter. Finalement, nous avons opté pour la danse moderne. L’idée nous est venue de développer à Ain Defla ce style de danse qui d’ailleurs à la mode .C’était en 2007.Nous étions également encouragé par les responsables du palais de la culture.
Le chélif : Au fait, voulez-vous nous expliquer ce qu’est la danse contemporaine ?
Zakaria Hadj Ahmed : Dans cette danse, les danseurs expriment des messages à travers des mouvements de l’ensemble du corps. C’est une manière de vouloir exprimer des choses, délivrer des messages, etc…
Le chélif : Quelles sont vos participations et titres ?
Zakaria Hadj Ahmed : Au début, nous avons commencé à travers notre wilaya (Miliana, Khemis Miliana, Aribs, Djelida, Ain Defla, El Attaf) pour voir l’écho que pouvait engendrer ce nouveau style de danse. Certes, Les gens étaient divisés, il ya ceux qui comprenaient pas mais ils trouvaient cela intéressant par contre d’autres ne trouvaient pas cela attractif. C’est vrai, il y avait toujours des gens autour de nous qui ne cessaient de nous encourager, alors, nous avons continué parce qu’on croyait à ce qu’on faisait et c’était cela notre force. On possédait un mental d’acier, le groupe était également très soudé. Ensuite, c’était à Alger lors du festival international, c’est notre quatrième participation et nous avions récolté deux prix de jury, le premier en 2012 et le second en 2014 (classé 4ième). Par la suite, c’était la Tunisie qui nous a invité et nous étions classés 1er. C’était grâce à M Abdelkader Khimda (lui-même danseur) qui nous a permis d’être invités à ces fêtes magnifiques. Nous avons montré notre force, notre persévérance, notre courage et surtout notre talent et voilà où nous en sommes. Nous avons également participé à plusieurs épopées (malhamates), conduites par le célèbre comédien Adjaimia et bien d’autres lors des fêtes et les anniversaires de l’indépendance et ceux de Novembre.
Le chélif : Que pensez-vous de l’avenir de cette dance ? Rencontrez-vous des difficultés ?
Zakaria Hadj Ahmed : Notre but est de développer cette discipline à travers toute l’Algérie, la danse contemporaine renferme beaucoup d’atouts et qualités (sport, messages et mouvements d’ensembles, développement de l’esprit, etc). Les difficultés sont nombreuses mais on est rôdé, rien ne peut nous arrêter. C’est vrai que les problèmes peuvent freiner l’élan, la progression et l’enthousiasme mais on est là et on fait avec.
Le chélif : Un message à transmettre ?
Zakaria Hadj Ahmed : Nous demandons à l’ensemble des autorités locales de nous aider et de nous faciliter la tâche par ce que le challenge devient de plus en plus difficile à supporter par le groupe tout seul. Nous demandons aussi à la jeunesse de croire en nos possibilités et en nos potentialités qui sont énormes, néanmoins, il faut savoir mettre tout cela en harmonie et attendre le déclic.
Nous avons crée, à cet effet, une association appelée « Nouvelle génération » Son but est d’encourager et d’initier la jeunesse à l’apprentissage de cette nouvelle danse et d’éviter l’oisiveté. Nous demandons de l’aide surtout par exemple, nous n’avons pas de salle adéquate pour la danse, celle où nous nous entrainons est très petite.
Le groupe KBS en plein exhibition