Articles de algermiliana
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UN SHOW FANTASTIQUE...
- Par algermiliana
- Le 12/12/2014
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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Ce bébé n'y croit pas et pourtant!
Je vous souhaite quelques minutes de bonheur avec ce spéctacle hors de commun. -
Souvenirs d'Al Andalus "Nouba zidane"
- Par algermiliana
- Le 01/12/2014
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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AMEL chante outre le patrimoine occidental, elle chante aussi le patrimoine de son pays qu'elle aime.
Extrait du concert "Souvenir d'Al Andalus" à la cité de la musique en Mai 2011 avec Amel Brahim-Djelloul et le groupe de musique andalouse AMEDYEZ, sous la direction du violoniste Rachid Brahim-Djelloul.
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Opera Star Amel Brahim-Djelloul
- Par algermiliana
- Le 27/11/2014
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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Je vous offre la dernière née d'AMEL avec une nouvelle chanson qui est une berçeuse.
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Le temps qui reste/Serge Reggiani
- Par algermiliana
- Le 26/11/2014
- Dans Le Coin de Le ziton
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Je ne voudrais pas vous coller le cafard avec cette vidéo , mais je trouve ça si beau que je voulais la partager avec vous. Un texte énorme, une chanson émouvante parmi les plus belles de tous les temps.C'est vrai qu'elle dégage beaucoup de mélancolie,de tristesse et puis ........de l'amour aussi et en vieillissant elle prend un sens plus profond. Profitons du temps dont nous disposons ( le temps qui reste ) pour sublimer notre existence et non se perdre dans d'effroyables conjonctures. Juste écouter ces mots et se dire que c'est ce que l'on devrait se dire tous les jours. -
Festivités du 1er Novembre
- Par algermiliana
- Le 23/11/2014
- Dans Divers
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_______Festivités du 1er Novembre 2014 en photos_______
------- Alger ------- -
Feraoun, Camus et l'Algérie
- Par algermiliana
- Le 23/11/2014
- Dans Le coin de Aziz OUDJIDA
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Je suis en train de relire ‘’l’Etranger’’ de Camus, avant de lire ‘’Meursault Contre-Enquête’’ de Kamel Daoud et enfin relire aussi ‘’ La Condition Humaine’’ d’André Malraux.
José Lenzini né à Sétif a passé sa jeunesse en Algérie. Auteur de ‘’Camus et l’Algérie (Edisud, 2010)’’ et ‘’ Les derniers jours d’Albert Camus (Actes Sud, 2013)’’ entre autre, et il rapporte :
‘’En 1950 Feraoun, alors instituteur en Kabylie, publie à compte d’auteur, le fils du pauvre. L’année suivante, son ami Emmanuel Roblès lui écrit que Camus a beaucoup aimé ce livre. Feraoun admire Camus, mais a été choqué par ses articles sur la Kabylie. Rien que la misère, les aspects positifs d’une culture dont Camus n’a montré que la misère. Et dans la Peste, pas un arabe ! Il lui écrit son admiration, mais aussi sa déception. C’est ainsi que débute leur correspondance. ‘’
Et 60 ou 70 ans après Feraoun, on se réveille ! Nous autres, toujours durs à la détente ! Feraoun, voilà un très grand Homme, un très grand Algérien, que notre pays se doit de mettre sur un piédestal, qui déjà en 1950, avant notre révolution et avant beaucoup d’autres algériens qu’on glorifie aujourd’hui, a parlé pour nous tous et a rappelé à cet autre illustre fils de l’Algérie, Albert Camus, que nous existions.
« Les Arabes dans La Peste et L’Étranger, » disait Edward Saïd, dans un des essais fondateurs de la théorie postcoloniale, « sont des êtres sans nom qui servent d’arrière fond à la grandiose métaphysique européenne qu’explore Camus. ». Edward Saïd, est un théoricien littéraire, un critique et un intellectuel palestino-américain. Il a enseigné, de 1963 jusqu'à sa mort en 2003, la littérature anglaise et la littérature comparée à l'université Columbia de New York.
Kamel Daoud en 2014 dans son livre ‘’Meursault Contre-Enquête’’ (Finaliste prix Goncourt 2014), ne dit pas le contraire. Mais là n’est pas son propos. Pour lui, le fait que le personnage Meursault tire cinq fois sur un Arabe sans nom, qu’il y a vingt-cinq mentions d’Arabes dans le texte sans que l’Arabe assassiné compte dans l’acte d’accusation contre Meursault. L’Arabe portera désormais comme nom Moussa, qui fait si joliment écho à Meursault.
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Colloque « La Paix en Palestine »
- Par algermiliana
- Le 23/11/2014
- Dans Le Coin de Mustapha CHERIF
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Mon intervention au colloque « La Paix en Palestine »
« S'ils penchent pour la paix, fais de même en te confiant à Dieu, car Il est l'Audient et l'Omniscient. » (Coran 8.61)
Je remercie la dynamique et chaleureuse équipe actuelle du GAIC et le réseau Chrétiens de la Méditerranée d’avoir bien voulu m’inviter. En ces temps sombres, où le monde prend une mauvaise direction, plus que jamais il nous faut continuer à dialoguer et témoigner pour la paix, l’amitié, la justice. En sept points succincts, humblement, au vu de tant de drames, de complexité et d’incompréhensions, je vais essayer de vous faire part de ma réflexion.
1 -Hommes et femmes de foi, c’est sous le signe du vivre ensemble, de l’amitié et de la fraternité abrahamique et humaine qu’il y a lieu de s’inscrire. Sinon nous serons en porte faux avec nos références spirituelles fondatrices communes : « Nous croyons en Dieu, en ce qui nous a été révélé par Abraham, Ismaïl et Jacob et les patriarches, en ce qui nous a été donné par Moïse et par Jésus, et ce que les prophètes ont reçu de leur Seigneur. Nous ne faisons pas de distinctions entre eux.»(Coran:2-136) Sauvez nos religions des instrumentalisations politiques, de l’usurpation du nom et des injustices est un devoir.
2- Défendre la cause de la paix en Palestine est un devoir éthique, humaniste, citoyen, et non point un reflexe communautariste. C’est parce que la cause palestinienne est juste et symptomatique des iniquités de notre temps, que nous avons à exprimer notre solidarité. Ce n’est pas un problème judéo-arabe, ou islamo-hébraïque. Durant des siècles, Juifs et Musulmans ont vécu ensemble, notamment depuis la sortie de l’Andalousie jusqu'à la deuxième guerre mondiale, nos frères juifs ont trouvés refuge en terre d’islam. Comme les chrétiens d’Orient, ils sont une partie de nous mêmes.
3- Ce qui se joue en Palestine n’est pas un simple drame local, c’est un des problèmes politiques majeurs de notre temps, où nos trois religions, y sont mêlées malgré elles. Il y a d’autres drames et conflits de par le monde, mais les spécificités, dont Jérusalem est le symbole, et les conséquences du différend israélo-palestinien, notamment sécuritaires, sont d’une dimension planétaire. C’est une question centrale qui influe sur l’avenir du monde, a pris en otage le rapprochement entre les peuples et nourrie des extrémismes. La terminologie n’est pas innocente, faisons attention aux mots que nous employons, évitons tous les amalgames.
4- En citoyens du monde et croyants abrahamiques, attachés à la civilisation humaine et à la primauté du droit sur la loi du plus fort, nous ne pouvons pas ignorer qu’il n’y a pas de Paix sans Justice. Nous avons besoin les uns des autres pour contribuer à une solution juste, globale et définitive. Avoir au plus haut point le respect de l'autre est la marque des justes. L'acte de foi devrait annuler toute possibilité d’iniquité. Dialoguer c’est d’abord écouter l’autre et sortir des points d’aveuglements.
5- Une parole commune pour la paix est non seulement possible, mais est une exigence éthique. Dieu, dans nos livres sacrés, précise qu’Il n’aime pas ceux qui disent et n’agissent pas. Le meilleur des croyants est celui qui est le plus utile à l’humanité, sait se réconcilier et oeuvre pour la concorde. Notre devenir est commun. En Palestine, il ne peut y avoir qu’une paix réelle pour tous, ou pour personne. L’apartheid, le blocus, l’enfermement, imposés aux palestiniens, sont mortifère pour la paix.
6- Dieu ne changera pas l’état d’un peuple tant qu’il ne change pas lui même. Ce conflit, au fond, n’est pas entre ennemis, mais entre «frères », entre« faux-frères ». Il implique pour tous de faire l’examen de conscience, de pratiquer l’autocritique et de dialoguer, afin d’accéder à une vraie fraternité. Ce but, la vraie fraternité, passe par la fin de l’occupation, le droit du peuple palestinien à disposer de lui même et la paix entre les deux peuples.
7- Cela signifie qu’on ne saurait y parvenir en simplifiant les problèmes, mais en les approfondissant. De même, le but ne doit jamais justifier les moyens de la résistance, tout en sachant, comme disaient Ghandi ou Mandela, que c’est le colonisateur, qui détermine les conditions de la lutte. Le peuple palestinien opprimé, privé de ses droits élémentaires, n’a le choix que de résister, généralement pacifiquement. La désinformation occulte cette réalité. La violence aveugle, inadmissible, injustifiable, est le produit de la répression aveugle, de l’humiliation et des discriminations.
Conclusion
La question palestinienne est politique, cependant le dialogue entre les sages, les justes, permet d’alerter les consciences, de jeter des ponts, de sortir de l’aveuglement, de mettre fin au pessimisme, au désespoir et de sensibiliser sur le fait que les religions sont innocentes face à toutes les violences. Il y a des justes et des extrémistes dans toutes les communautés. Tous les justes, par delà leur religion et leur culture, doivent œuvrer ensemble pour instaurer l’équité et faire prévaloir le droit.
Critiquer les réactions de l’extrémisme fondamentaliste ce n’est point être islamophobe ; critiquer le sionisme extrémiste et refuser la colonisation ce n’est pas être antisémite ; critiquer la politique des deux poids et deux mesures des grandes puissances, ce n’est pas être anti-occidental. Aucun amalgame, aucune stigmatisation, ne doivent être tolérés. Rien ne doit servir de prétexte pour retarder la paix réelle, la libération du peuple palestinien et la sécurité pour les deux peuples. Soutenir la juste cause palestinienne et la logique de la paix ce n’est pas faire de la charité, mais contribuer au bien commun et tarir une des sources des problèmes de notre temps.
Ce qui se joue dans cette région influe sur la paix et la sécurité dans le monde. Ne laissons personne les mettre indéfiniment en péril. Comment accepter qu’une soixantaine de résolutions du Conseil de sécurité sur cette question depuis plus de 60 ans soient restées lettres mortes ? Cependant, aujourd’hui la communauté internationale, qui un temps a comme abandonné le peuple palestinien opprimé, reconnaît qu’il n’y a pas d’alternative à la solution diplomatique et politique pour deux États, dans le respect du droit international et dans le cadre de l’ONU. Sans le Tiers, la communauté internationale, il est clair que le conflit perdurera au détriment de la sécurité internationale.
Deux États côte à côte, coexistant en bonne intelligence et fraternité, ce n’est point une utopie, ni un rêve impossible. La haine est vouée à l’échec. Les palestiniens ont ouvert grande la porte de la négociation, du dialogue et des concessions depuis au moins 1993. Les pays arabes acceptent le dialogue depuis le sommet de Madrid en 1991 et proposent depuis 2002 la paix et la reconnaissance de l’État d’Israël en échange négocié des territoires occupés en 1967.
Dans ce sens, le pape François lors de son voyage en terre sainte en Mai dernier a prononcé des paroles que nous partageons : « Nous devons accepter tout ce qui concours à l’exercice de la paix et à la coexistence respectueuse entre juifs, chrétiens et musulmans». La communauté internationale, malgré des entraves dues à la politique du fait accompli, sait que tôt ou tard le peuple palestinien sera indépendant, il est donc temps d’user de la force du droit pour mettre fin aux souffrances.
Nul ne peut arrêter le cours de l’histoire et la volonté des peuples. Pour nous autres croyants, humanistes, reste à inventer et conforter toutes les mesures de confiance possibles, s’adresser à l’autre, le reconnaitre, le respecter dans son altérité, sa dignité et sa mémoire. Se mettre en état de paix intérieure, dépasser toutes les rancunes, être juste, est le début de la paix politique réelle pour tous. Le Deutéronome (15 : 7- 11) ne dit t-il pas : « tu n'endurciras point ton cœur » ? Et le Coran ajoute « Soyez justes, la justice est proche de la piété » (Coran 5:8)
Croyants, citoyens du monde, démocrates, nous avons à témoigner, à continuer à dire ce que nous croyons être juste, surtout si parviennent de Jérusalem, Al Qods, des mauvaises nouvelles. Le témoignage propre aux croyants de la Transcendance est parole juste persévérante, en notre âme et conscience, sous le regard de Dieu. En témoignant nous serons, peut être, si Dieu veut, de ceux qui s’entendront dire «j'étais en prison, et vous êtes venus vers moi. » (Évangile St Matthieu 25, 31-46)
Témoignons avec lucidité, compassion et dignité, afin que justice soit rendue et que la fraternité reprenne ses droits. Ne dit-on pas que le judaïsme est ancré dans l'espérance, le christianisme dans la charité et l'Islam dans la foi ? Réunissons ces qualités en chacun de nous et ne cessons pas de témoigner. Il y a des témoignages, des paroles et des prières qui sont des actes. Comme Abraham nous l’a apprit, puisque nous savons que « Tout passe sauf la Face de Dieu » éveillant ensemble les consciences à la fraternité, à la justice, à la paix :
« Demandez, j’exaucerai vos prières» (Le Coran, 40. 60)
« Demandez, et vous recevrez » (Évangile selon Matthieu, 7: 7-8)
« J’ai crié maintes fois au Seigneur ma complainte, Il ne m’a pas repoussé, mais toujours exaucé » (Bible, Psaume de David)
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L'éternel incompris !
- Par algermiliana
- Le 22/11/2014
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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Salim Haini, très connu sous le sobriquet El Akoul c'est-à-dire (le mangeur) et / ou le gargantua de la région :
Devant l’étonnement et surtout les exploits qu’il fournit dans chacune de ses exhibitions que ce soit lors des émissions télévisées ou tout simplement lors des fêtes animées à travers les 48 wilayas du pays.
Nous avons donc voulu comprendre le mythe qui entoure cette histoire, surtout découvrir les réponses aux diverses interrogations, appréhensions et anxiétés des spectateurs. Chaque fois que Salim dit (El Akoul) se produit dans un de ses spectacles, il laisse les téléspectateurs sur leur faim alors que lui est copieusement rassasié.
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Marchés flottants en Hollande
- Par algermiliana
- Le 19/11/2014
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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Chers(es) ami(es) bonsoir.
Que du beau! J'essaie tout au moins de ne pas sortir de ce cadre et j'espère que j'y suis.Je vous souhaite d'agréables moments.