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Articles de algermiliana

  • Survivances d'Enfance/ Part 5

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    À l’endroit où l’on habitait quoi que peu éloigné et retiré du village Il  n’y avait pas d’électricité. Tout le riverain  limitrophe du village était dépourvu de cette énergie à usage domestique et pas que notre maison. Parmi  le paysage familier, tout autour, je me rappelle prés de chez nous il y avait quelques maisons qui formaient un hameau. Des habitations bâties de pierres et en torchis, leurs toitures sont de tuiles rouges. Dans cette circonstance quelques humbles gourbis en chaume  modelés par la nécessité en  paraissent aussi à côté  les mieux adaptés à être un gite vivable pour un bon souper un bon gite. Ces maisons de terre et chaumières sans fondations  faisaient partie du décor du paysage en ce temps lointain. Rudimentaires ou traditionnelles elles ont été les signes des difficultés sociales  pour être des habitats des classes défavorisées; d’autres cabanes  sont accolées, construites pour  un  abri à tout âne ou mulet, vaches ou quelques moutons et brebis. Et là ,le berger n’a pas été oublié .. Et  au lieu-dit, même si le confort du mode de vie manquait ne décrivait nullement un emplacement difficile à vivre. Chacun Chez soi pour éclairer, devrait  utiliser des bougies ou lampe à pétrole. Ainsi la vie de tous les jours s’écoulait sans soucie à ce dispositif même essentiel au foyer. Parfois ,il paraitrait qu’on est plus heureux  quand’ on se plaint  d’un ménage de la maison. Mais quand on est vraiment malheureux,l’ un des premiers reflexes consiste à se plaindre pour toute chose manquante sans pouvoir chercher où trouver la solution. Et mère en faisait  ça quand le travail inutile l’ennuie et à dire  « j’ai trop de travail  à terminer » « le bois est humide pour l’allumer » « les casseroles sont toutes noires que je n’arrive plus à les nettoyer ». Et c’était normal pour notre pére même à bon escient  feint l’attention, que c’est devenu pour elle ainsi une habitude de dire sa façon de voir et de penser à mon pére. Ses  plaintes étaient sensibles à quelque chose  que parfois c’est réceptif pour avoir une boite de Henné ou une nouvelle robe. L’un et l’autre s’écoutaient avec empathie. Et puis un jour pour son apparition au foyer, un élément commode de cuisine fera encore une joie inattendue chez nous. C’est  un fameux réchaud à pétrole de l’époque flambant neuf que notre pére apporta pour ma mére. Indispensable on pouvait le trouver dans presque chaque maison. Il fera pour les années à venir la difference dans notre cuisine entre cuire un œuf sur un  feu de l’âtre ou à l’emmener facilement là  où l’on veut d’un endroit à un autre. On était heureux comme la plus part des gens au village où les humbles maisons à l’époque le possédaient et l’utiliser chez eux .

    C’était d’ailleurs à l’époque un luxe chez soi d’avoir  un réchaud à pétrole, sans fumer ,sans odeur  il faut savoir seulement au début  l’allumer et puis actionner sa petite pompe  pour une puissance de feu . il  prendra place tout comme un luxe de cuisine à la maison pour un confort d’une cuisson sur un feu sans fumée et. Les ustensiles ne seront plus noircis comma auparavant  par le feu de bois.  

    Chez nous par la suite, il est devenu le moyen unique  pour la cuisson durant toute l’année  été comme hiver et fréquemment à être  utilisé le matin pour préparer  le café aussi vite quand le feu dans une cheminée tardait à s’allumer en hiver.

    Mais il se voit qu’Il sera au mois de ramadhan, remplacé temporairement par le kanoun. Pendant ce mois de piété  et de devotion ardente ce ne sera pas un seul kanoun mais deux qui seront utiles pour la cuisson .L’un pour une bonne chorba qui va prendre tout son temps sur le feu, et l’autre pour une marmite d’un plat de légumes. Le café viendra par la suite et prendra la relève pour sa préparation sur les quelques braises restantes encore chaudes avant le Maghreb.

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  • Survivances d'Enfance/ Part 4

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    L’oued Cheliff bien auparavant était un courant d’eau important avec risque de crue soudaine. Si L’évènement d’une crue se produit, c’est pendant les turbulences maussades d’hiver et avec l’abondance du ruissèlement des eaux des coteaux et pentes périphériques. La montée brutale du niveau des eaux se fait aussi par extension sur les berges. À forte raison qu'une pluie torrentielle tombe plusieurs jours, qu’aussi bien le grand barrage Ghrib en temps de pluie et neige n'arrive plus à retenir ou à maintenir toutes les eaux accumulées dans son lac de retenue d’eau. Et dans l’état où s'accentue davantage le déluge il sort de son lit .Ses eaux se mélangent dans l’aspect d’une liquidité boueuse de couleur brunâtre. On voit la crue dans un écoulement de précipitation en forte augmentation d’ hauteur. IL devient par son ampleur impressionnant.

    Du lieu de notre petit « chez soi », à seulement quelques enjambées à faire, quand les fortes pluies entrainent des crues cela nous mène des fois à assister à la montée des eaux de l’oued. Au grand étonnement, on est là attiré par l’événement du spectacle phénoménal de flots ininterrompus qui défilent avec force et violence entre les deux rives. On sera là devant l’habituel cours d’eau paisible dans son évolution qui en devient par le temps qui cours subitement cruel, il n’est plus à pénétrer ou à s’approcher davantage. Les deux rives des côtés, ne seront plus distincts à voir avec l’augmentation du niveau d’eau surélevé au-dessus d’eux .Les eaux s’ajoutent continuellement les débordent. Et Implacablement la masse gigantesque des eaux de crue qui circule, arrache et emporte tout ce qui est sur son chemin. C’est quasiment comme un rouleau compresseur qui passe où que rien n’arrête ou ne résiste. Parfois il apparait désolant de voir tout ce qu’il emporte.

    Aux diverses choses flottantes qu’on voit en surface de la masse d’eau prodigieuse qui crée l’inquiétude, s’ajoute du bétail. Dans ces circonstances d’un mauvais temps, les pluies intenses de courte durée momentanément engendrent toujours un danger, et bêtes et bergers sont toujours pris au dépourvu d’un retour des pâtures. Dans les eaux tumultueuses on remarque pas mal de bêtes sans vie, d’autres dans leur dernière lutte contre la mort on les voit inlassablement à la recherche du rivage. Et toutes ces pauvres bêtes dans un courant irrésistible, sont entrainées avec branches, troncs déracinés.

    Survivances d'enfance  4

    Pour une crue de l’oued, le spectacle qui se manifeste et émerge à la surface de l’oued devient fascinant à contempler. Au loin, on restait, pendant des heures regarder à distance l’afflux surabondant des eaux. L’ardeur des' flots qui avancent et qui s’élargissent davantage jusqu’à interférer une puissance qui va de l’avant et que rien n’arrête. Le spectacle alors ébranle la vue, qu’il est tellement effrayant et terrifiant. Intentionnellement au risque on nous apeurait, c’était par crainte qu’on s’approche trop de la rive. Mais à toute audace murement réfléchie, qui ne risque rien n’a rien. Les gens du voisinage venaient aussi comme nous voir et constater où la crue a bien pris ses limites pour le raconter plus tard. 

    Les événements tragiques de l’oued et de ses crues sont restés poignants dans les annales qui se racontent toujours. Même à nos jours on trouve ces faits chez ceux qu’à l’époque leurs parents leur ont racontés. Dans la chronologie de ces circonstances, les exemples survenus abondent. On raconte un fait parmi tant d’autres qui parait incroyable mais vrai. L’histoire dit que l’oued au cours de sa crue a emporté et entrainer avec lui le ramassis tout entier d’un gourbi. Le plus spectaculaire et comme du jamais vu il fut encore plus charmant. Sur le toit de chaume du fartas en naufrage, sur ses deux pattes se tenait bien hardi un coq à scruter l’horizon, sa crête en l’air bien haute comme un bonnet point mousse. Téméraire comme une vigile dans un nid- de -pie à observer où va la dérive et à donner sans cesse des signaux de détresse par ses cocoricos .il se tenait droit debout ; Hélas, le chemin ne fut pas bien long encore.  Après maints appels le gourbi en biens et âme fut engloutis et le corps du malheureux coq n’a jamais pu être retrouvé.

    C’était ça l’Oued Cheliff à l’époque avant que les eaux du barrage n’aillent après dans des conduites de canalisation se jeter dans des bassins artificiels qu’on appelle piscine ou plutôt baignoires dans lesquelles des gens aisés prennent des bains ensoleillés.

    Survivances d'enfance  4  Figure 1et 2  vue du Barrage Ghrib sur les hauteurs de Djendel

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  • LA MUSIQUE AUTREMENT

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    LA MUSIQUE AUTREMENT

    De la note à la thérapie

    (Dr. Mouloud Ounnoughene)

    Que l'on soit passionné de musique (ou pas), ce livre, j'en suis certaine, ne pourra que captiver toutes les lectrices et tous les lecteurs tant le Dr. Mouloud Ounnoughene (neurochirurgien et musicien … entre autres …) nous transporte, au fil des pages, dans son merveilleux univers !LA MUSIQUE AUTREMENT

    S'il est vrai que je suis passionnée de musique pour des raisons diverses et variées, l'intelligence avec laquelle ce livre est écrit est fascinante !

    Personnellement, il me semble impossible d'en tourner une seule page sans avoir envie de découvrir immédiatement la suivante et ainsi de suite !

    Si, dans l'un de ses chapitres, l'auteur aborde "l'effet Mozart et la pratique musicale", il aborde également cet art sous l'angle médical, à savoir, qu'il soulage la dépression et l'anxiété et qu'il améliore les fonctions cognitives, notamment, celles observées dans la maladie d'Alzheimer !

    L'autiste, nous dit-il par ailleurs, apprécie souvent la musique qui devrait faire partie des protocoles de soins. C'est un moyen "d'allumer" d'autres aires cérébrales. Un livre très didactique pour les personnes ayant dans leur entourage un enfant autiste car il pourrait leur ouvrir des pistes de réflexion qui pourraient s'adapter à l'enfant lui-même.

    Nous apprenons également en lisant ce livre à quel point l'auteur a raison en disant, preuve à l'appui, que la musique offre une résonance thérapeutique à diverses maladies …

    Mouloud Ounnoughene termine son livre par une citation de Beethoven tellement explicite :

     

    "LA MUSIQUE EST UNE REVELATION PLUS HAUTE

    QUE TOUTE SAGESSE ET TOUTE PHILOSOPHIE"

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  • Projet "Zohra la femme du mineur "

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    Projet Zohra la femme du mineur

    Aux amis et en réponse à l'ami Benyoucef, à Noria, à Mohamed et Meskellil qui m'ont rendu visite en exclusivité cette case faisant partie du projet Zohra la femme du mineur.
    Miliani2keur et toi Benyoucef, je sais que vous êtes impatients pour contribuer à cette œuvre.

    Mais vous n'ignorez pas la tâche immense à mettre ce roman photo en roman graphique et animé en plus. Même si nous devons faire le bonheur de nos amis internautes, il n'en demeure pas moins que nous devons prendre en compte le cheminement et l'aboutissement de ce projet de longue haleine, qui dans notre cas nécessite une p'tite équipe pour gérer l'animation.

    Vous n'ignorez pas que la rotoscopie d'une image consomme du temps et finit par lasser si personne n'est à vos cotés pour vous relayer, (ou à vous essuyer le front) lol... Donc, si nous devons entreprendre ce travail, ce ne sera pas seulement pour le site, mais pour un autre public plus varié, plus large. Pour cela nous devrions revoir le texte et procéder à sa traduction en arabe dialectale pour commencer.

    Mais bon ce sont des trucs techniques qui n’intéressent pas pour le moment nos amis du site, aller g trop dit. Ah KARIMA g oublié d'te saluer....aller, c'est fait.lol...

  • La (fausse) annonce

    Bonjour tout le monde et particulièrement celles et ceux qui ont cherché après moi. j'leur dis, à très bientôt...lol

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  • L'intrus du BAC

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    L'intrus du Bac

    L'intrus du BAC

     

  • Sosie de Bradaï

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    Bonjour mes amis
    Bradai, tu n'y étais pas ce jour là. Quelqu'un s'est fait passé pour toi, en fait c'est un de tes sosies qui nous gratifia de son plus beau sourire déclinant une dentition à faire jalouser des povres anti brosse à dent comme moi. MilKeur n'avait vu que du feu. lol....

    Djamel TOUAT

  • Baccalauréat !

    Baccalauréat !

    Jadis, le baccalauréat avait son miel pur ! Il avait sa peur douce ne ressemblant à aucune autre peur. Une peur semblable à celle de la circoncision ! Douleur en douceur annonciatrice de la virilité ! Le bac nous faisait rentrer dans la cour des grands !! Et, il avait un bonheur sans pair, une sensation unique !

    La veille du bac, la nuit fut longue. Très longue, à la longueur d’une année, un peu plus ! Dans l’oreiller de laine s’installent toutes les angoisses.

    Le matin, avant de prendre le chemin du centre d’examen, je me sentais hanté par la crainte d’oublier quelque chose : la règle, le deuxième stylo ! La gomme, le crayon, la pièce d’identité ou encore la convocation…

    Les candidats, sans exception aucune, étaient, en ce jour-là, bien habillés. En neuf ou en propre. Bien coiffés ! En chic. Les garçons comme les filles.

    C’était un jour qui ne ressemblait pas aux autres.

    On ne vit pas deux fois le bac !

    Ce jour de bac nous rappelait une autre épreuve scolaire fondamentale : l’examen de la sixième !

    Le matin du bac, il faut prendre le trolley, le numéro 11 ou le 21, lequel des deux est le plus rapide ? Celui de six heures du matin ou celui de six heures moins le quart ? Perplexe ? Le jour de l’examen, le trolley est en retard ! Même arrivé à l’heure pile, on a l’impression qu’il a été largement en retard. La faute au chauffeur bavard ! On a peur que, en plein chemin, notre monture ne tombe en panne. Le trolley traîne les pas dans toutes les stations, beaucoup plus que d’habitude ! La tortue ! Pour la énième fois, je vérifie l’heure. Je n’ai pas confiance en cette montre que mon oncle m’a prêtée hier soir pour l’occasion. Selon l’expression de mon oncle : «

    Les trois aiguilles marchent, comme sur un cheveu, elle est de marque suisse ! », il me l’a répétée dix fois. Il l’a fait « manger » (remonter) en tournant avec précaution la couronne sur le côté. Cette montre est sa fierté pendant le mois du Ramadhan, tout le monde mange et jeûne selon ses tic-tac !

    Le bracelet me serre le bras. Il faut arriver devant la porte du centre d’examen au moins une heure avant l’heure de vérité.

    Je me suis trouvé, comme les autres élèves, dans une salle qui fait peur, derrière une table individuelle, comme dans le box du tribunal international de La Haye, face à mon nom et mon numéro d’examen écrits sur un bout de papier rouge collé à l’angle droit de la table. Le plumier posé devant moi, lui aussi me fait peur.

    Je le regarde, lui aussi me regarde. Et je me demande si je n’ai pas oublié mon deuxième stylo. Le stylo de secours. Et la gomme, et l’équerre, et la boîte de crayons de couleurs pour colorer les cartes géographiques, et le compas ?

    La montre de mon oncle me serre le bras.

    Ses aiguilles, qui marchent comme sur un cheveu, soudain se sont arrêtées. Mon ventre me serre, j’ai envie de pisser ! La montre de mon oncle ne trahit jamais, fidèle aux jours de Seigneur. Fidèle aux heures des petites créatures du Seigneur. Je la fixe. Elle redémarre.

    Il est huit heures, le jour qui ne ressemble pas aux autres jours commence. Le jour de frisson et de bonheur, lui aussi avait une fin.

    Le jour du résultat fut un autre jour ! Des youyous dans des maisons. Du silence dans d’autres, un silence de deuil.

    Aujourd’hui, le bac a perdu le miel et l’abeille du miel. Les youyous sont inexistants ou rares.

    Pour nous, le bac fut nos nouvelles ailes. Le bac fut le chemin vers l’autre. Le premier grand voyage. Avec le bac on avait le droit de quitter la famille et le village. Partir dans une grande ville ou ailleurs.

    Le bac était la liberté ! L’aventure.

    Même si ni Malraux, ni El-Akkad, ni Cocteau, ni Zola n’ont eu leur bac ! Le jour du bac me rappelle ma cousine Fadila Mor, la première brave lycéenne dans notre grande famille qui a décroché le baccalauréat. Une pensée de respect pour elle !

  • Et... Nous appartenons au commun des mortels !!!

    Ahmed ARBOUCHE

    Dans cette vie qui n’est autre qu’une arène échiquéenne, ou une arène de gladiateurs, face aux fauves; chacun a droit de se substituer à une pièce, pas des moindres bien sûr ; pour être à l’abri du supplice et du lynchage.

    Tout le monde convoite le fauteuil du roi, celui de la reine, du ministre ou du général, soit !!!

    L’humble petit pion est laissé à la dérision, à l’abnégation et aux viles besognes mais ; n’oublions pas qu’après l’émulation sur l’arène, ce petit pion, disons ce petit gladiateur, se range dans un boitier avec l’ensemble des pièces ; enfermées sous un couvercle.

    Dans ce trou noir il se retrouve côte à côte avec le fabuleux roi qui l’a toujours méprisé.

    Comble du paradoxe et par chance, dans ce boitier où règne l'obscurité totale, comme dans une tombe; toutes les pièces sont rangées couchées, sauf le pion; il peut se tenir debout, par sa taille négligeable et... Par son humilité !!!

    Pour ainsi dire, nous appartenons tous au commun des mortels et, heureux sont les hommes humbles qui jouissent de la plénitude de leur raison d’être !!!