Divertissements
- Par algermiliana
- Le 06/07/2014
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
- 2 commentaires
Par DEGHRAR Djillali, Ain Defla. AE-LFM ddeghrar@yahoo.fr |
De temps à autres, il est très conseillé et même recommandé d’échanger quelques blagues.
Parce que cela permet d’être plus au moins dynamique parce que nos blagues et surtout du terroir elles sont magnifiques. Surtout pour ceux qui vivent loin de leur patrie.
La Mercedes et la Renault 4 ( R4)
Un jour, le conducteur d’une R4 roulait paisiblement sur une route départementale. Soudain, il avait entendu derrière lui, le vrombissement d’un moteur puissant et assourdissant. Il était celui d’une Mercedes dernière gamme.
Le pilote de la Mercedes en doublant la R4 avait ralenti un moment puis il avait dit : « Elle a 200 chevaux dans le ventre » ensuite il avait appuyé sur le champignon et il est reparti comme une flèche.
Le conducteur de la R4 continuait sa route toute en hochant la tête. A près une demi heure et juste avoir dépassé une station d’essence, le paisible conducteur avait entendu le même son derrière lui, c’était celui de la Mercedes qui s’est arrêté pour faire le plein d’essence.
En le doublant, cette fois ci, il s’est rapproché davantage du conducteur de la R4 tout en lui disant en ricanant : « 200 chevaux dans mon moteur, le conducteur de la R4 avait souri et fit signe au gars avec la main bonne route.
Quelques instants plus tard, le conducteur de la R4 avait doublé la Mercedes qui était devant une auberge, il avait sourit puis a continué sa route. Après un moment, il fut secoué par le même son, le pilote de la Mercedes avait doublé la R4 tout en répétant les mêmes enchainements.
Après un quinze minute de route, le pilote de la R4 avait remarqué, plus loin, quelque chose qui brillait sur le bas coté droit longeant une rivière, c’était la Mercedes qui avait complètement l’avant dans la rivière. Et son pilote debout à coté.
Le conducteur de la R4 en arrivant à proximité de celui de la Mercedes, il s’est arrêté pour prêter main forte au conducteur de la Mercedes, une fois devant lui, il lui avait dit ceci : « Mon gars, tu es en train de faire abreuver tes 200 chevaux ? ».
Commentaires
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- 1. ferhaoui (10/03/2014 ) Le 06/07/2014
bonjour tout le monde, dans la série chroniques: aujourd'hui une histoire hors du commun que je vous propose à vous chers internautes! le new york times corrige une faute dans un article vieux de 161 ans.le journal américain a publié mardi dernier un erratum ...le nom de solomon northup y était mal écrit.il n'est jamais trop tard pour corriger une faute. le new york times, un des principaux quotidiens americain , a publié dans son édition de mardi dernier erratum concernant un article datant du 20 janvier 1853. l'erreur serait passée inapercue si le film 12 years a slave n'avait pas eu autant de succès .l' article en question raconte en effet l'histoire de solomon northup, héros du film, qui a également réellement existé. son nom a été mal orthographié de deux manières différentes, northrup dans le titre, puis northrop dans le corps du texte. c'est une auteure américaine, rebecca skloot ,qui a révélé la faute lundi dernier sur twitter: "intéressant : cet article du new york times de 1853 a écrit le nom de solomon ( northup) différemment dans le titre et dansl'article". bonne journée...et a bientot pour une autre chronique. l'ami ferhaoui, oran. -
- 2. un lecteur (10/03/2014) Le 06/07/2014
Pour que son cœur puisse trouver la placidité, le cheikh hmida tout en pleurs appela de prés son proche guessab. Fidele compagnon de toujours du Cheikh , le guessab est aussi appelé hmida .
Aussitôt à lui Il vint. Pres de lui , s’approcha sans attendre. Le cheikh l’invita alors à lui jouer comme à ses habitudes pour l’assistance la plus mélancolique mélodie qui soit afin d’endormir ceux qui tardent encore à comprendre ses mots.
Des que la flute fut sur les lèvres de notre guessab hmida que l’air voulu se joua pour le maitre. . le cheikh hmida. avec le petit doigt de sa main bagué fit entendre un son sec rythmé sur le tambourin qu’accompagnaient les autres doigts de ses mains.
Et de là le cheikh dira :
En sentant mon temps languir , mes yeux ont vu pour mes ans un horizon d’ espoir à l’ infini
Mais J’ai vu aussi mes mains trembler sur le tambourin
Hmida en fidèle dira de sa flute
C'est une sensation de froid qu’on ressent lorsqu’on se sent renaitre après une troisième fois.
Hmida le cheikh continua :
Que de sensation que de brûlure ai-je senti .à voir cette clarté d’antan apparaitre et ’approcher en moi .
Hmida le guessab pour plaire à son maitre fera même danser sa flute entre les doigts de sa main pour dire :
C’est votre âme- bougie dans une coquille qu’on a conservé pour ne pas dépérir qui luit pour nous et pour vous dans les ténèbres oh mon maitre Hmida..
le cheikh. Hmida dira encore :
Oh mon cher guessab hmida tu me rends la vie une enieme fois Moi qui croyais voir arriver la dernière à sa trempe en train de dépérir .
Hmida le guessab dira.
Elle est toujours là écarlate OH ! mon maitre , celle qui nous uni en ce bas monde on ne pourrait la laisser vivre ses derniers frissons sans nous pour celle de l’au-delà elle sera pour chacun pour soi.
Cheikh Hmida n’ayant pas beaucoup pensé à ça, eut bon de dire à son guessab Hmida.
Je suis fan de la fete mais qu’elle serait la prédestination à moi Oh ! cher Hmida ami de toujours dis le moi avant que je sombre dans l'oubli de mon âme.
Je vais te le chanter cet air de ma flute oh ! maitre Hmida.
Et notre guessab Hmida entama un autre chant plus lugubre que le premier pour dire à son maitre Hmida que là bas où on se serait tous Chami Chami wal Baghdadi Baghdadi.
C’était Hmida le Cheikh et Hmida LE Guessab dans un chant funèbre.
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