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Le diabète et ses conséquences

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  Le Dr Abdallah Ayouni, a, cette fois ci choisi le thème suivant :

Sans titre 18

Qu'est-ce que c’est le diabète ?

Le diabète concerne environ plusieurs millions de personnes à travers le monde. Il correspond à une élévation anormale de la glycémie, c'est-à-dire au taux de sucre présent dans le sang. Cette maladie reste longtemps silencieuse. Environ 9 diabétiques sur 10 présentent la maladie pendant des années sans le savoir. Ils la découvrent généralement à l'occasion des symptômes des premières complications. Le diabète insulinodépendant, dit de type I, concerne 1e diabétique sur 10. Le diabète de type 2 peut évoluer des années durant sans aucun symptôme. Le meilleur indice de surveillance du diabète reste le dosage sanguin de l’hémoglobine gluée. En gros, le diabète empêche le corps d’utiliser convenablement le sucre comme source d’énergie.  Le diabète est aussi une maladie chronique qui ne se guérit pas, mais que l’on peut traiter et contrôler. Il est causé par un manque ou un défaut d’utilisation d’une hormone. Les complications du diabète sont nombreuses et potentiellement sévères, notamment trouble de la vision, infarctus,  accidents vasculaire, maladie rénales, amputations…

Généralement, le terme diabète peut faire référence à plusieurs notions ; Il existe différents types de diabète soit le pré-diabète, le diabète de type1, de type 2, le diabète de grossesse et d’autres types plus rares. Plusieurs causes de diabète sucré :  

  • le diabète de type 1, diabète sucré caractérisé par la disparition des cellules produisant l'insuline,    
  • le diabète de type 2, diabète sucré caractérisée par une moindre sensibilité à l'insuline,      
  • le diabète gestationnel, cause de diabète sucré chez la femme au cours de la grossesse,    
  • le diabète néonatal, cause de diabète sucré du nouveau-né ;   

    Qu’est-ce que le diabète ? Type 1  Type 2.

  • Symptômes causes traitements complication

            Les causes, symptômes, traitements, facteurs de risques, dépistage... Le diabète se caractérise par un excès de sucre dans le sang (hyperglycémie chronique) et donc un taux de glucose (glycémie) trop élevé.

  • Examen et diagnostic : comment savoir si on a du diabète ? Le taux de glycémie normal à jeun

    Prise de sang pour le dosage de la glycémie Un dosage de la glycémie est pratiqué en laboratoire : un diabète est avéré lorsque la glycémie à jeun est égale ou supérieure à 1.26 g, à deux reprises ou égale ou supérieure à 2 g à n'importe quel moment de la journée.

    Les deux types de diabète (Type 1 et Type 2)

    On distingue principalement deux types de diabète : le diabète de type 1 qui touche environ 10 % des diabétiques. Le diabète de type 2 qui en touche approximativement 85 %. Les autres types de diabète concernent les  5 % restants.

    Le diabète de type 1, anciennement appelé diabète insulino-dépendant (DID) est habituellement découvert chez les sujets jeunes : enfants, adolescents ou adultes jeunes.

    Les symptômes du diabète de type 1

    Les symptômes sont : soif intense, urines abondantes, amaigrissement rapide. Ce diabète résulte de la disparition de la cellule bêta du pancréas. L’organisme ne reconnait pas ces cellules bêta et les détruit (les cellules bêta sont alors détruites par des anticorps et des cellules de l’immunité, les lymphocytes, fabriquées par l’organisme : on dit que le diabète de type 1 est une maladie auto-immune. Le glucose ne pouvant entrer dans nos cellules retourne dans le sang. Le taux de glucose dans le sang s’élève alors.

Les causes du diabète de type 1

 On ignore pourquoi cette destruction des îlots de Langherans se produit, pourquoi chez certains et pas chez les autres. Il existe une prédisposition génétique (familiale) mais les autres causes sont mal connues : l’environnement aurait également un rôle.

Le traitement du diabète de type 1

 Le corps ne fabriquant plus du tout d’insuline, l’unique traitement actuellement est l’apport d’insuline :

  • soit sous forme d’injections (injection d'insuline avec une seringue ou un stylo)
  • Existe un autre procédé qui n’est pas très répandu dans pays, c’est celui de la pompe à insuline  (traitement par pompe), appareil portable ou implantable destiné à administrer l’insuline en continu.
  • Le diabète est-il héréditaire ? 
    Le poids de l’hérédité diffère selon qu’il s’agit du diabète de type 1 ou du diabète de type 2. Lorsque l’un des deux parents est diabétique de type 2, le risque de transmission à la descendance est de l’ordre de 40 % et si les deux parents sont atteints, le risque grimpe à 70%. Il n’est que de 5 % dans le diabète de type 1, plus précisément 6 % si le père est diabétique, 2-3 % si c’est la mère (mais 30 % si les deux parents le sont). Il est donc utile de se construire un arbre généalogique pour repérer les personnes de sa famille qui sont diabétiques et connaître son patrimoine génétique.   

Le diabète de type 2

 Le diabète de type 2 apparaît généralement chez le sujet de plus de 40 ans ; cependant les premiers cas d’adolescents et d’adultes jeunes touchés apparaissent de plus en plus. Le surpoids, l’obésité et le manque d’activité physique sont la cause révélatrice du diabète de type 2 chez des sujets génétiquement prédisposés. Sournois et indolore, le développement du diabète de type 2 peut passer longtemps inaperçu : on estime qu’il s’écoule en moyenne 5 à 10 ans entre l’apparition des premières hyperglycémies et le diagnostic.


  Dans le diabète de type 2, autrefois appelé non insulino dépendant (NID), le processus est différent que dans le diabète de type 1. Deux anomalies sont responsables de l’hyperglycémie :

  • Soit le pancréas fabrique toujours de l’insuline mais pas assez, par rapport à la glycémie : c’est l’insulinopénie.
  • Soit cette insuline agit mal, on parle alors d’insulinorésistance.

 L’insuline ne peut plus réguler la glycémie et cette résistance épuise progressivement le pancréas qui finit par ne plus assurer une production suffisante d’insuline. Ces deux mécanismes font que le glucose ne pénètre pas dans les cellules  du corps et reste dans la circulation sanguine. Le taux de glucose dans le sang n’est pas régulé par l’insuline.

Les causes du diabète de type 2

 Il n'existe pas une cause précise mais un ensemble de facteurs favorisants :

  • une origine génétique : le facteur familial est tout à fait prépondérant. Des antécédents de diabète du même type sont souvent présents dans la famille.
  • des facteurs environnementaux : alimentation déséquilibrée, un manque d’activité physique, responsables du surpoids.

Quel est le traitement du diabète de type 2 ?

 Il est traité dans un premier temps par des mesures hygiéno-diététiques puis on a rapidement recours à des traitements anti diabétiques oraux ou injectables (injection d’insuline avec une seringue ou un stylo) dont l’efficacité n’est optimale que s’ils sont associés à une alimentation équilibrée et une activité physique régulière.
  Le diabète de type 2 étant une maladie évolutive, après l’augmentation progressive des antis diabétiques (escalade thérapeutique), des injections d’insuline seront proposées au patient lorsque la carence en insuline sera trop importante.

 Le but du traitement dans les deux cas est de normaliser la glycémie : les hyperglycémies répétées et prolongées entraînent à long terme une altération des nerfs et des vaisseaux sanguins présents dans tout le corps. Ce sont les sont complications du diabète qui peuvent se traduire par une cécité, des atteintes des pieds pouvant conduire à des amputations, des infarctus et des accidents vasculaires cérébraux, des troubles de l’érection ou une insuffisance  rénale.

Conclusion sur le diabète de types 1et type 2

 Les deux principaux types de diabètes sont des maladies différentes mais caractérisées par un excès de sucre dans le sang et doivent être prises au sérieux et traitées efficacement. Il n’y a pas de « petits diabètes » ou de diabètes plus graves que d’autres. Malgré la recherche médicale qui avance tous les jours, le diabète reste une maladie qui se soigne très bien mais qui ne se guérit pas. Il faut donc y vivre pendant toute sa vie, se surveiller, garder de bonnes habitudes alimentaires et d’activité physique, prendre régulièrement ses médicaments. Un diabétique peut donc être un malade en bonne santé ! Oui à la qualité de vie !

Qu’est ce que c’est : l’hypoglycémie

 L'hypoglycémie (à ne pas confondre avec hyperglycémie) est une concentration en sucre dans le sang (glycémie) anormalement basse c'est-à-dire inférieur à 0,60g/l. Le niveau sanguin normal de glycémie doit se situer entre 60 et 110 mg/dl (0,6 à 1,10 gramme par litre).

Symptômes

 Les symptômes de l'hypoglycémie varient selon la sévérité. Multiples, ils se divisent en symptômes témoignant du mauvais fonctionnement du cerveau lié à la carence en sucre au niveau des neurones, cellules très sensibles au manque de sucre (neuro glucopénie) et ceux de la réaction de l'organisme au stress lié à l'hypoglycémie : la sécrétion de catécholamines (adrénaline et noradrénaline), la réaction neurovégétative.

La neuro glucopénie: 

 Elle peut produire une variété d'effets et symptômes survenant pour un seuil glycémique inférieur à 0.50 g/l : sensation de malaise avec asthénie importante, troubles de la concentration intellectuelle, sensation de dérobement des jambes, céphalées, impressions vertigineuses, troubles psychiatriques, multiples et trompeurs (confusion aiguë, agitation, troubles de l’humeur et du comportement,...), troubles neurologiques sévères (crises convulsives généralisées ou localisées), troubles moteurs déficitaires, troubles visuels à type de diplopie ou de vision trouble.

 Les symptômes d'hypoglycémie peuvent se manifester durant le sommeil. Des exemples de symptômes peuvent inclure des draps humides ou des vêtements plein de transpiration. Les cauchemars ou les pleurs peuvent être un signe d'hypoglycémie. Lorsqu'un individu est réveillé, il peut se sentir fatigué, irritable, ou confus ; il peut également s'agir de signes d'hypoglycémie. Une hypoglycémie significative peut accroître le risque de maladie cardio vasculaire.

Causes

 Les hypoglycémies ont plusieurs ordres de cause : soit un excès d'insuline ; soit un défaut de production de glucose, soit que le repas ait tardé ou été insuffisant, soit qu'un exercice physique n'ait pas été accompagné d'une baisse de la dose d'insuline ou d'une collation apportant des glucides. Certains médicaments sont responsables d'hypoglycémies, le plus souvent en activant la sécrétion d'insuline, c'est le cas en particulier des sulfamides hypoglycémiants utilisés dans le traitement du diabète, mais aussi des dérivés de la quinine.

Diagnostic

 L'hypoglycémie est un diagnostic biologique car elle se définit par un taux bas de sucre dans le sang (moins de 0,5 g/l). Dans le cadre des premiers secours, il est impossible de distinguer le malaise hypoglycémique d'un autre type de malaise ; tout malaise, ou coma, doit faire évoquer l'hypoglycémie. Dans le cadre médical, la mesure de la glycémie fait partie du bilan de base de tout malaise mais n'a de sens que si elle est obtenue au moment même du malaise. Il faut traiter une hypoglycémie le plus rapidement possible : la baisse d'attention qui l'accompagne pourrait en effet être mortelle lors de la conduite d'un véhicule ou de la pratique d'un sport (alpinisme en particulier...) ; pour cette raison les personnes hypoglycémiques doivent toujours avoir avec elles une dose leur assurant rapidement 15 grammes de glucides : trois biscuits, ou trois morceaux de sucre, etc. Lorsque l'hypoglycémie arrive chez soi, même si elle débouche sur une perte de connaissance, ses conséquences sont moins graves en général, car l'organisme du diabétique refabrique spontanément du glucose au bout de quelques heures et le patient recouvre spontanément ses esprits. Elle ne doit pas moins en être évitée dans la mesure du possible.

 Dans un premier temps, le corps réagit à la baisse de la glycémie par une décharge d'adrénaline (par rétrocontrôle négatif car l'adrénaline est une hormone hyper glycémique qui induit la glycogénolyse) (réponse hormonale adrénergique, sécrétion de catécholamine endogène par les glandes surrénales), qui provoque : accélération cardiaque (d'où les palpitations), élévation de la pression artérielle (vasoconstriction), ou autres mécanismes de défense sont mis en jeu ; ils impliquent le glucagon, le cortisol et l'hormone de croissance (hormone somatotrope).

Traitement

  Le traitement indispensable et suffisant de référence de l'hypoglycémie est le re sucrage par voie orale chez un sujet conscient ou intraveineux en cas de coma (soluté glucosé à 30 %). Une alternative pratique chez le diabétique traité par insuline est l'injection (sous-cutanée ou intramusculaire) de glucagon. Le glucose sanguin peut augmenter en quelques minutes en ingérant (ou s'injectant) 10 à 20 grammes de glucide. Ce glucide peut provenir de la nourriture ou de boissons sucrées et peuvent être ingérée si l'individu est conscient. 100–120 ml sont contenus dans des fruits comme les oranges, les pommes, et les raisins. Dans un second temps, la cause de l'hypoglycémie doit être comprise (bilan des prises médicamenteuses, alcoolémie, etc.) afin de prévenir sa récidive.

Prévention

 Chez le diabétique traité : apprendre à reconnaître sur soi les signes d'hypoglycémies ; avoir toujours 15 grammes environ de sucre sur soi, sous une forme ou sous un autre : trois biscuits, deux pâtes de fruits, trois morceaux de sucre… ; savoir adapter traitement et alimentation aux situations qui nécessitent des ajustements : repas, activité physique, stress, etc. ; adapter le traitement médicamenteux du diabétique avec le médecin traitant.

 Du point de vue de la médecine, les trois critères suivants doivent être réunis chez un individu pour pouvoir affirmer qu’il est atteint d’hypoglycémie réactionnelle :

  • des baisses d’énergie subites accompagnées de nervosité, de tremblements, d’une faim impérieuse ou d’autres symptômes.
  • une glycémie ou « taux de sucre » dans le sang, inférieure à 3,5 par litre au moment où les symptômes surviennent.
  • la disparition des malaises après avoir pris du sucre, comme un bonbon ou un jus de fruits.

 On ne dispose d’aucune explication claire sur l’origine de ces « pseudo-hypoglycémies ». Un état de panique ou un excès de stress pourraient être en cause. Il se peut, en outre, que l’organisme de certaines personnes réagisse plus fortement à une baisse de glycémie.

 En médecine, les « vraies » hypoglycémies - qui répondent aux 3 critères énoncés ci-haut - sont habituellement diagnostiquées chez des personnes atteintes d’intolérance au glucose (une étape préliminaire au diabète), de diabète ou d’une autre maladie du pancréas. Une chirurgie à l’estomac peut aussi causer une hypoglycémie, mais c’est plutôt rare. Cela dit, qu’il s’agisse d’une hypoglycémie véritable ou d’une « pseudo-hypoglycémie », les symptômes sont contrôlés et prévenus de la même façon, grâce notamment à divers changements dans les habitudes alimentaires.

Qui est touché ?                                                                                                                                                                       

 Les personnes qui souffrent d’hypoglycémie sont généralement des femmes dans la vingtaine ou la trentaine. Puisque cette affection n’est pas considérée comme une maladie, on ne possède pas de statistiques fiables sur le nombre de personnes atteintes.

Conséquences                                                                                                                                                                                   

 La plupart du temps, l’hypoglycémie réactionnelle est légère et s’estompe spontanément ou après l’ingestion d’aliments qui fournissent du glucose à l’organisme. Il n’y a alors aucune conséquence grave.

Diagnostic                                                                                                                                                                                                                  

 Une fois que la situation qui déclenche les symptômes est découverte, il se peut que le médecin demande au patient de mesurer sa  glycémie avant et après une période symptomatique. Les personnes qui ont à leur disposition un lecteur de glycémie (glucomètre) peuvent l’utiliser. Si la glycémie est anormale, le médecin procède à un bilan de santé complet afin d’en trouver la cause. Lorsque le médecin soupçonne que la personne souffre d’une intolérance au glucose ou d’un diabète, d’autres tests de glycémie sont entrepris.

Qu’est-ce que c’est une : hypoglycémie

 On parle d’hypoglycémie quand il y a une baisse anormale de la glycémie. Que faire en cas d'hypoglycémie et comment en reconnaître les signes et les effets ? Comment aider une personne diabétique qui fait une crise d'hypoglycémie à côté de moi ? Que faire si elle est inconsciente ? Dois-je l'aider à se re-sucrer ou appeler les secours ?

Les personnes à risque et les signes de l'hypoglycémie

 Voici quelques signes de l’hypoglycémie qui peuvent être remarqués par l’entourage d’une personne diabétique :

Tremblements, Pâleur, Trouble de la parole, Trouble de l’équilibre (mouvements anormaux) et Trouble de l'humeur (tristesse, agressivité ou euphorie).

Que faire en cas d’hypoglycémie ?

 Il s’agit d’une urgence qu’il faut traiter immédiatement ? Six situations peuvent alors se présenter :

Nombre Nombre Obs
01

Si la personne est consciente et qu’elle peut se re-sucrer seule : dès que les premiers signes de l’hypoglycémie se font sentir (et que l'on peut, de préférence, le confirmer par une  glycémie capillaire), il faut arrêter toute activité et s’asseoir calmement. Si vous êtes en voiture, il faut se garer rapidement et en toute sécurité. Ensuite, il faut se re-sucrer mais pas trop ! 15 grammes de glucides suffisent : 3 morceaux de sucre, par exemple, ou un verre de jus de fruit, un verre de soda non light, 1 cuillère à soupe de confiture ou de miel. (A éviter : le chocolat ou les fruits, dont l’effet hyperglycémiant est plus lent).

 

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02 Si la personne n’est pas en état de se re-sucrer seule, l’intervention de l’entourage s’impose. -
03

Si vous détectez les signes de l'hypoglycémie (voir plus haut), il faut aider en douceur la personne à se re-sucrer même si elle nie faire une hypoglycémie (la convaincre n’est pas chose facile parfois !).

 

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04

Si la personne est inconsciente (coma, agitations, convulsions…) : il ne faut surtout pas lui faire avaler du sucre ou quoi que ce soit (l’aliment risquerait de passer dans les voies respiratoires et de l’étouffer).

 

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05

Si la personne est traitée par insuline, si vous êtes un proche et que vous savez faire une injection, vous pourrez pratiquer une injection de glucagon. Il est important de s'entraîner à faire des injections afin de ne pas paniquer le jour de la crise.

 

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06 Si vous ne parvenez pas à gérer la situation, contactez les secours : Composez les numéros de secours  depuis un téléphone portable.

 

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Après une hypoglycémie sévère, ou si les hypoglycémies sont fréquentes, il faut chercher à comprendre le malaise hypoglycémique en analysant les circonstances et les causes de la survenue (retard dans la prise d’un repas, dose d’insuline inadaptée au repas ou à l’activité...) et en discuter avec votre médecin.

Par DEGHRAR Djillali

Commentaires

  • kéryma
    • 1. kéryma Le 07/02/2015
    J'ai beaucoup de personnes atteintes de cette maladie autour de moi;
    jeunes et moins jeunes, docteur Ayouni, et Djillali Allah ydjazikoum bel khir!

    Kéryma,
  • Hortense
    • 2. Hortense Le 06/02/2015
    Bonsoir,

    Et on n'oublie pas de mesurer l'hémoglobine glyquée plus représentative de l'équilibre glycémique que le dosage de la glycémie.
    Merci à vous docteur Ayouni et Mr Deghrar pour les sujets que vous présenter aux amis du site.

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