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Le temps d'un désir et le temps du regret/ Par Med BRADAÏ

Mohamed BRADAÏ

En cherchant ce qu’il y a de mieux à lire mon intention s’est portée sur l’écriteau d’une phrase. Une belle citation mise en page quelque part dans un livre.
Et la lecture dit : « On voyage autour du monde à la recherche de quelque chose et on rentre chez soi pour le trouver ».
Après l’avoir lue, elle m’a fait comprendre pour dire qu’on ne peut tourner cette page sans y penser qu’on a aussi un peu voyagé à la recherche de cette chose.
Et qu’on ne peut jamais tourner une page de sa vie sans que s'y accroche une certaine nostalgie "Eve Belisle".

J’ai alors pensé à ces tant d'années d’isolement de chez moi, à toutes ces longues pérégrinations dans des endroits lointains et à mon retour. Et réfléchis à ce que j’ai laissé de si précieux loin de moi, et que tout finalement je suis de retour trouver ce que je désirais comme chose.

À travers mes souvenirs, je vais essayer d’écrire mon histoire interprétant l’authenticité d’un mode de vie professionnelle. Mon récit se manifeste avec toute une flamme de souvenir, qu’au début parfois trop perplexe à raconter mais souvent avec raison de l’écrire.

Pour moi ce retour définitif fut après bien un éloignement familial dû au lien d’un travail de métier. Un retour qui fut-il au début d’un mois de Juin 2011 où tant d’années auparavant ont pu atteindre un nombre 34. Un nombre angélique dit-on qui signifie qu’il est possible de saisir de nombreuses opportunités et d’atteindre des résultats escomptés. Peut être par là, la joie y était pour moi du privilège que j’ai eu en plein dunes de sable d’un désert immense d’avoir eu à compter les étoiles et vu le soleil comment qu’il se couche et se lève. Savoir sans boussole se diriger vers la « qibla » exactement où pour prier à l’aide d’une étoile au ciel. Cette chance inouïe dans la vie de terminer sans gravité un poste de travail sur un chantier de forage ou de n’être piqué ni par un scorpion ni mordu par une vipère dans des lieux excréments dangereux où tout endroit de pause pour une sèche peut cacher un reptile endormi mais prêt à ôter la vie. Ces moments pénibles de chaleur où l’eau potable (Mouzaia et Saïda) mise en bouteille, stockée dans un parc en cas de manque est rationnelle pour chacun parfois. Et ce sont ces jours qui passent au rythme du bruit continuel d’un avancement d’outil dans les profondeurs de la terre qui sont les témoins de vie pour un foreur dans un chantier de forage. L’attente du remplaçant qui vous obligera à prolonger encore le séjour au-delà des 42 jours.

Un autre obstacle viendra dans sa période mécontenter un visage fraichement rasé pour un voyage. C’est le vent de sable et que tout Nordiste veut éviter d’entendre à à l’approche de sa journée de rotation ou pour une mauvaise nouvelle de chez soi.

Et me voilà après ces années à un retour à ma case de départ laissée en expectative un certain 14 sept 77, comme l’enfant prodigue au milieu d’une famille, je suis de retour avec une tête bien voyante à la Yul Brynne. Je m’aperçois aussi qu’à cela s’ajoute qu’on m’a remis une médaille en vermeil, avec un papier attestant mes labeurs. J’ai ressenti avec, bien des regrets au résultat escompté. Et pour cela j’en ai fort besoin maintenant, d’apprendre comment connaitre la vie de famille pour comprendre ses besoins.

Dans tout le temps d’une vie nomade que j’ai dû mener avec bon vent de mes proches, j’étais sans le vouloir devenu Sudiste aux yeux de tous ceux qui me voient chaque fois chez moi revenir pour une récupération. Et dans tout lieu de rencontre ou travail pour tous les gens du sahel proches de la mer on nous désigne Nordiste, un nom cardinal pour nommer ceux qui ne peuvent distinguer lequel des trois coupes de verre de thé le premier au gout amère qu’il faut éviter d’en boire. Soyez certain qu’au premier jour ils ne vous donneront point ce premier verre qu’au consentement. On se distinguait fort bien par ce petit gout amère du désir de la vie. Rencontrer aussi quelqu’un du Nord et lui dire que je suis à SONATRACH la seule pensée pour lui est que tu es du Sud. Et dire que nous ne sommes point en une Amérique au temps de sa guerre de sécession des années 1860 pour diviser le pays si quelqu’un est du Sud ou du Nord.

C’est à des confins inconnus d’un désert immense appelé Sahara je me suis décidé à parti un jour. Le Sud me fascinait. C’était à cette époque là où la chevelure bien abondante de tout jeune tombait sur ses épaules. Le désir était immense et tant souhaité par moi dans ce temps de jeunesse, et je me voyais réellement à prendre un sac de voyage et à me lancer vers cette ruée richesse abondante. La société Sonatrach disait-on payait beaucoup mieux au Sud. Dans ses bases on menait la belle vie rien n’y manque piscine et ciné. Et ce temps c’était pour moi tenter l’aventure pour un gain d’une richesse. Fasciné je me voyais avec un Jeans Levis le seul que je possède,une paire de Boots et une ceinture large entourant ma taille à parcourir ces étendues de terre arides et ensablées. L’aventure a complété le désir de mon ambition à voir les grandes étendues de sable et de sol aride. On me disait que c’est à perte de vue et nullement des plaines comme celle du Cheliff ou celles du Wyoming vu au cinéma. Mais le rêve c’en est un, la réalité en est autre, et je l’ai bien vite constaté sur le terrain. Mais bien un désert. Un désert de sable et de dunes.

À travers mon métier j’ai vécu des moments inoubliables qui ne demandent qu’à être revus encore et encore. Effectivement dans les premiers temps de mon aventure vers la ruée, la première chose que j’ai compris sur mon lieu de travail c’est avant tout une relation humaine. J’ai vu et rencontré dans mon parcours de chemin les premiers pionniers de l’or noir, des vieux de la vieille. Il y avait parmi eux, ceux qui après la nationalisation ont pris la relève de la gestion des bases. Et ceux qui par expérience acquise, se sont retrouvés comme chefs de chantier, superviseurs ou même superintendants de forage. Parmi eux aussi il y avait pas mal d’illettrés, mais comme chevronnés de métier on les trouvera en qualité de second de poste, des chefs de poste et aussi chefs de chantier. Placés à un poste stratégique sur un appareil de forage on leur a donné une pleine responsabilité à faire tourner un rock bit à 3500M sous terre avec des paramètres à respecter et ne pas négliger. Par leur fine expérience, ils savaient le faire au plus que parfait.
Ce sont ces gens qui ont les moyens pour immortaliser des instants émotionnels que cela vous donnent des moments sur le vif allant des éclats de rire aux larmes de bonheur. Ils vous racontent une de leur histoire en ayant l’œil sur une mouche qui tournoie ou par mégarde essaie d’écouter aussi leur histoire fantastique ou afin d’approcher un peu trop leur assiette. Ils l’attrapent d’un trait sans la rater avec un simple geste creux de main. Ils diront voilà une de moins sans rigoler. J’ai appris comment pour ouvrir une bouteille mouzaïa ou saïda ; enlever la capsule d’un simple coup de pouce.

À les écouter c’était du fantastique, leurs histoires d’endurances vécues par ces hommes dans le sable parfois brulant, parfois glacial sont à vous couper le souffle. Ou lorsque, l’on se retrouve perdu ils vous proposent conseil avec beaucoup de bienveillance afin de vous redonner vie. Et c’est dans ces conditions que j’ai connu ces gens où le métier exercé dans le forage ne pardonne jamais son bonhomme. Où il peut au simple moment d’inattention avoir les doigts coupés ou la jambe fauchée.
Ce temps où on doit prendre avec soi deux à trois cartouches de paquets de cigarettes sans oublier d’enfouir avec dans son sac de voyage quelques romans policiers (Chase, S.A.S et j’en passe à chacun sa préférence de lecture). Les journaux, même France-foot ne manquaient pas on était bien gâtés du coté littérature. Les plus éloignés n’en oublient jamais leurs cases de mots croisés. C’était un plaisir de se communiquer un mot difficile par radio quant on se trouve dans des chantiers à des kms éloignés les uns des autres et le communiquer à distance.
La radio était ce seul moyen de travail à distance et qui nous reliait entre chantiers et la base de Hassi Messaoud. Le rapport journalier devait passer tous les matins, l’envoyer à temps, il fallait parfois passer par toutes les fréquences.

Travailler et vivre comme des nomades, à dos de Ken Wort (gros camions capables de transporter de grosses charges) lorsqu'on changeait de lieux de travail. Un déménagement parfois pénible camp de vie et appareil d'un endroit à un autre.
En contre partie cela a été payant pour mes efforts consentis, qu’ en récompense on m’a remis une médaille en vermeil, avec un papier attestant mes labeurs. Ce papier me dit aussi que vu mon âge trop avancé mon travail est fini. Je l’ai reçu avec amertume. Ce qui m’a contraint à quitter les lieux, l’avion m’attendait c’était jour d’ un mardi. Mais c'était prévu que ça arrivera tôt ou tard un jour.
C’était difficile aussi maintenant à quitter une autre famille. Une famille la mort dans l’âme, tout comme un guerrier aguerri dans ses combats, avec moi j’ai emmené, comme butin mes années de vie contemplative du Sud. le couperet fut tranchant pou moi le travail c’est fini le repos va prendre la relève. Un autre mode de vie allait commencer pour moi, une autre vie de famille où il est difficile de s’y habituer facilement après tant d’années de solitude. J'ai constaté que depuis cette année de retour au bercail, je suis devenu plus réceptif.

Le Sud m’avait vraiment marqué durant ces «34 ans de gagne-pain Je me souviens qu’à ce jour là en signant ma lettre d’engagement voyant mon salaire que mes yeux n’ont pas cru par rapport à un salaire du Nord, je me suis dit avec un pareil pognon cumulé j’ai pas plus pour 04 à sacrifier de ma vie. Hélas ! par le temps je me suis bien trompé des jours des jours qui se succédèrent aux jours, bien des gens ont dit cela avant moi aussi à l’exemple bien là devant moi d’un vieux chef de chantier. Un pionnier du forage que j’ai connu en ce temps. Le temps s’écoula pour moi comme ça. Je me rappelle aussi d’un stagiaire de l’IAP de Hassi Messaoud venu fraichement après avoir obtenu avec succès son admission au troisième jour résilia son contrat. Il ne pouvait supporter ce Sud où chaque jour la chaleur de son soleil était à son comble, j’avais tellement insisté qu’il reste, mais Il s’en est allé.

Et moi pris comme dans un engrenage, j’ai dû me résigner à continuer. Peut être que dans cet état de fait ressenti indépendamment cela n’avait aucun reflet sur les conditions du cadre de travail que ce n’est dû qu’à notre choix plutôt qu’à notre ’isolement. On est arrivé à le supporter au fur des jours, qu’il arrive le moment d’une soif, où on a la langue collée au palais, et qu’on trouve pas une bouteille d’eau un peu froide pour étancher notre soif, à le supporter aussi pour ne voir que le soleil entre les dunes de sable à contempler comme nature. Parfois au matin à son levé, comme dans un mirage, on se croit devant une étendue de mer et les quelques mêmes personnes sur le site de travail. Notre rythme de vie d’un séjour de 06 semaines, soit 42 jours était Manger, boire et dormir pour récupérer. À longueur de notre séjour qui s’étalait pour 42 jours que parfois plus. On a eu tendance à ne plus savoir parler que de travail, rock bit Mase tiges et drill pipe et quel sera notre prochain puits. À cette idée de compter le nombre de couscous de chaque Vendredi pour voir le jour du Mardi jour de rotation arrivé.

Je suis arrivé à penser dans ce temps comme tout abeille qu’elle a oublié d’avoir des ailes, qu’elle n’est que pour une activité à terminer. J’ai oublié amis et copains des gens du Nord. On revenait comme des immigrés assoiffés de revoir les nôtres. Mais une fois arrivé chez soi on se retrouve confronté à un autre un mode de vie qui ne convient pas.

À la découverte du site Bab el-Oued - Miliana, avec comme décor la porte du lycée Mustapha FERROUKHI, grande ouverte. Elle évoque toute une nostalgique d’envoutement de souvenirs pour tout ancien élève de ce lycée. J’étais alors propulsé dans un passé, captivé par un sentiment pour un retour dans mes souvenirs... Un autre mode de vie va commencer pour moi.



J’ai pu trouver cette vidéo intitulée «Pétroliers des sables (1957) ».
« les pétroliers des sables » elle parle de recherche d’une chose (le pétrole). Elle explique aussi plus et mieux les conditions de travail sur un chantier de forage où trouver cette chose qui ’en réalité n’est qu’une chose comme tant d’autres dans la vie.

À moi, elle rappelle ce que j’ai vécu et passé au Sud pendant les 34 années de ma vie.

Commentaires

  • Med Bradai
    • 1. Med Bradai Le 30/04/2023
    AZIZ
    Merci AZIZ de nous avoir raconté ce peu de souvenirs de toi dans cette activité professionnelle qui t'a bien serpenté un peu partout à travers le monde.. Ce qui a pu te rappeler aussi peut etre des moments inoubliables. La premiere fois que j'ai touché la main à Mr BRAHIMI dans ce temps CHEF DE DISTRICT SUD,c'etait sur un lieu de montage des appareils OIL Well 840 SH182 SH 183 SH184 et le SH 185 le dernier à etre monté sur place comme les trois autres .L'equipe de montage etait composée de Pakistanais,Canadiens ,Anglais Americains d'un Bolivien et d'un Cambodgien .iL y eu un essai de deplacement d'une plate forme à une autre en Rig Mover du SH 184 sur une distance moyenne pas assez longue. ça n'empeche pas de dire que ça a été une reussite. La deuxieme fois que je me suis rapproché de Mr BRAHIMI fut lors de l'éruption d'un puits de gaz à Rhourde Nouss. .iL etait venu pour éteindre ce feu .ça a duré 40 jours C'etait un type tres simple.C'etait à un moment où il perdu des membres de sa famille en plein desert entre In Salah et Hassi Messaoud. Tout le monde disait du bien de ce bonhomme de metier.
    Une fois où il etait bien difficile de trouver un moyen de locomotion pour se rendre à la Base. ce temps où il fallait prendre avec soi une bouteille d'eau pour se deplacer .Quelqu'un faisait du stop et à marcher vers la Base Nord pour voir Brahimi Il marchait sous un soleil ardent quand une voiture s'arreta à ses pieds .Le chauffeur l'invita à monter et lui demanda sa destination. Le marcheur ne se fit pas prier une deuxieme pour monter que dejà il est bien à l'interieur à refermer la portiere du vehicule.
    Notre marcheur en cours de route raconta tous ses deboires en disant meme des propos qui ne convenaient pas à l'image de BrahimI. Arrivé à la Base tout le monde descend et chacun va vers son lieu .
    Notre bonhomme arrive au secretariat demande à voir le CHEF DE DISTRICT ,on le fit entrer.
    Grande fut sa surprise en voyant qu'il y a peu de temps à peine le chauffeur en question en serait là comme CHEF DE DISTRICT SUD derriere un bureau à l'attendre.
    Son probleme etait connu avant qu'il ne lui 'expose de nouveau.
    Bien heureux fut il en sortant du bureau du Chef de District.
    Ainsi etait ce Mr BRAHIMI avec tout le monde et que tout le monde estimait.
    Et ainsi resteront gravé nos souvenirs dans ces lieux lointains qui ont été les temoins de notre vie.
  • Aziz
    • 2. Aziz Le 30/04/2023
    Mohamed,

    Oui, tu as sans doute raison, les souvenirs commencent a s'embrouiller dans ma tete, mais en 71 j'avais 23 ans et je finissais mon ingeniorat, avant de faire mon service militaire. Le stage de sonde, le dernier qui faisait partie du cursus de la scolarite, durait 3 semaines bien pleines pendant lesquelles on nous demandait de mettre la main a tout, meme sur la plateforme et aux cles, une excellente experience.

    J'ai eu la chance de connaitre le celebre maitre foreur Brahimi d'El Golea et l'incontournable Morsli et de ces deux gentlemen foreurs, j'en garde d'excellents souvenirs.

    Bien des annees apres, vers fin 90, je me suis trouve avec BP en Siberie Orientale, au nord du Lac Baikal, sur des forages de develppement, en qualite d'ingenieur etranger/visiteur. Ce qui m'a le plus surpris, c'est la vetuste des appareils de forage russes qui n'avaient pas beaucoup evolue depuis les annees 70, ce que j'avais vu a Rhourde Nouss, en Algerie en 71 ! Ce qui est encore pire, ce sont leurs plateformes de production offshore, ou je me suis trouve aussi, en pleine mer Caspienne, a cote de Bakou, en Azerbaidjan, toujours pour le compte de BP. Je pense qu'aujourd'hui, les russes ont commence a rattraper le retard technologique en matiere d'industrie petroliere et c'est tant mieux pour eux.
  • Med Bradai
    • 3. Med Bradai Le 29/04/2023
    Aziz c'etait le SH 132 au lieu du SH 130;.
    le SH 130 qui est un appareil National Oil Well etait implanté sur le champ de Hassi Messaoud,
  • Med Bradai
    • 4. Med Bradai Le 29/04/2023
    Salem Aziz
    je crois que dans ton temps à RHOURD NOUSS il n'y avait que les appareils russes et roumains . Peut etre que tu as travaillé sur Le SH 130 qui etait un appareil russe sous la coupole du chef de chantier AZIZI . Dans un DTM pour retirer et faire sortir les axes de la substructure du SH 130 on faisait appel à Chebba ,un foreur bien costaud.Il n'y avait que lui qui savait manipuler et taper une masse aussi lourde qu'une masse tige sur la tete d'un axe ,les Cabot 1200 n'ont fait apparition que bien aprés ;le premier appareil cabot à etre monté sur une plate forme de forage àRhourde nouss fut bien je crois le SH 192. peut etre que tu as eu l'occasion de travailler aussi à Rhourde nouss sur l' un de ces appareils Cabot 1200;
  • Aziz
    • 5. Aziz Le 29/04/2023
    Que de beaux souvenirs qui nous ramenent bien loin en arriere Mohamed, a nos vingt ans ! J'ai fait mon stage de forage en 1971, il y a 52 ans, a Rhourde Nouss, forage RNA-2, si je me souviens bien. Mais le destin a voulu que je fasse toute ma carriere professionnelle en dehors de mon pays.
  • Med Bradai
    • 6. Med Bradai Le 28/04/2023
    Je vous propose à regarder ces deux videos.

    Les vétérans du forage pétrolier se rencontrent à Alger

    documentairesur l'activité forage les metiers et les hommes .

    Youtube
    https://www.youtube.com › regarder

    "les veterans du forage pétrolier se rencontrent à Alger" . Quelques visages de ces hommes du petrole qui ne s'oublient pas facilement avec leur verité et leurs souvenirs sur le forage . A ces hommes le pays leur doit beaucoup.

    Youtube
    https://www.youtube.com › regarder
    " documentaire sur l'activité forage "les metiers et les hommes

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