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Anecdotes Ferroukhiennes/ Par Med BRADAI

Ce souvenir d'un élève dont j'ai oublié le nom s'est passé durant nos premiers mois de l'année 64. Cet élève est devenu en quelques temps de son séjour entre quatre murs le Gavroche du lycée, il ne passe pas un Jeudi soir ou un Dimanche (tout le temps consigné pour ses méfaits malicieux) où il ne prend la clé des champs malgré une surveillance.

Comment il s' y prend pour sortir à l'insu des pions, personne ne l'a su jusqu'à ce qu'il soit pris la main dans le sac (comme on dit pour présenter quelqu'un devant le juge pour le culpabiliser davantage) et même pris par le Surveillant Général Mr Abdelwahab il répliquât par un sang-froid qu'il se trouvait là pour aider les agents de service à ranger les caisses de légumes. Son astuce qui a duré un temps à faire suer tout le personnel de surveillance était :

Lycée Mustapha FERROUKHI/ La cour

À chaque désir de son cœur de goutter l'air frais et se sentir libre à son aise, il entre par l'escalier des cuisines qui mènent au sous-sol comme un agent de service fait pénétrer sa tête dans une caisse à légumes (en ce temps-là elle était en bois) et se faufile entre le personnel de cuisine et se trouve en un clin d'œil dehors libre comme le vent. Ça a duré jusqu'à son expulsion définitive du lycée.

Une nuit de tonnerre

C'était une nuit d'hiver, une nuit glaciale ou seuls les radiateurs du chauffage central de ce lycée grandiose nous réconfortaient par leurs chaleurs douces, blottis entre les draps et les couvertures dans ce dortoir N°3 réservé à une certaine catégorie d'âge, le sommeil nous emmenait vers le plus profond des rêves. Quand soudain, un bruit de tonnerre interminable se fit entendre et qui fit vibrer vitres et fenêtres. Sursautant de nos lits, on croyait la fin du monde proche et tous que nous étions, la prière se fit entendre de nos bouches et cette peur bleue qui nous glaça nous fit pleurnicher si ce n'était le pion qui nous rassura peut être souriait-il tout bas, où notre courage d'enfant avait sa limite. Je crois que tous les milianais de l'époque se souviennent de cette nuit.

Contes et histoires fantastiques

C'était à une époque où les internes dépourvus de portables se racontaient des histoires d'enfants. Le lycée M.FERROUKHI comportait deux montées d'escaliers tout en marbre usées par la force des pieds qu'on ne peut s'en passer de les parcourir à la sortie des cours. Une des montées se trouvait juste là, près de l'économat, c'était là, notre refuge, un coin bien tranquille.

On se blottissait les uns contre les autres en temps d'hiver pour avoir bien l'ouïe et notre narrateur se mettait bien au milieu pour qu'il n'attrape pas froid. Il était fin conteur et il tenait çà de sa grand-mère.

Alors commencèrent ses histoires fantastiques, dès fois longues, dès fois courtes mais on ne se lassait jamais de les entendre, ces histoires nous faisaient vivre les mille et une nuits l’ogre (el ghoul) et ses enfants, si moha bel abid djeha. Il nous racontait et nous laissait toujours à notre faim pour qu'une partie de notre quote-part de goutter satisfera son désir d'estomac. C'est bon de s'en souvenir de temps à autre de ce temps oublié.

La salle 12

On était en classe dans cette salle 12, qui collait avec le réfectoire des Profs et nous rendions les notes de nos copies de Français. Chacun de nous avait sa note bien enregistrée dans sa tête en attendant que son nom soit prononcé par le prof pour la chanter. La mélancolie des notes se lisaient parfois dans nos visages et c'était comme un châtiment de faire savoir sa mauvaise note.

Le cycle d'appel était entamé, et juste à cet instant mes idées voguèrent bien en dehors de la salle si bien que mon esprit n'était plus à moi. Le prof lança mon nom et sans m'en soucier de ce que je disais j'ai tout bonnement dit "traze" tout en ayant mon regard planté au dehors.
Je fus réveillé de mon songe par le fou rire de la classe et que même le prof en faisait de même. Ils riaient et tout leur regard vers moi. Par la suite j'ai su que j'ai prononce le chiffre "traze" à la place de treize et ça été comme une bombe tellement il y a eu silence.

Commentaires

  • Bradai
    • 1. Bradai Le 09/02/2014
    Le prof de dessin s'appelait Mathis , terminant son cour il s’apprêtait à quitter la salle 6 en bonne humeur mais juste avant de franchir la sortie,voilà notre prof d'arabe Badaoui trainant son gros pardessus et cartable sous le bras qui arrive et là il voit quelque chose d’étonnant pour lui au tableau : une croix qu'un élève eut la gentillesse d'en faire un décor pour qu'on prie à la fin de l'heure qu'on doit bien rester sage quand on termine le cours et que notre prof quitte la salle .
    Mr Mathis n'en a jamais douté jamais qu'une croix puisse lui apporter complication .
    En voyant cela ,Badaoui fut hors de lui et avant que Mathis prend la porte qu'il l’attrapa par le col de sa veste et à coup de baguettes il lui martela la tête de plusieurs coups en lui disant :
    "Alors,comme ça tu me dessines une croix"sallib" dans ma salle et en plus de ça à mes élèves .!!! Alors,comme ça tu me dessines une croix"sallib" dans ma salle et en plus de ça à mes élèves .!!!

    Le prof de dessin Mathis se dégagea aussi vite des griffes du prof Badaoui n'en demandant même pas une explication et prit sa fuite en grande enjambée dans le couloir sans se retourner oubliant même par où qu'on descend les escaliers quand on est poursuivi par un prof d'arabe qui n'aime pas qu'on lui laisse un tableau avec une croix à effacer .
  • Bradai
    • 2. Bradai Le 30/05/2013
    Ce jour j’ai failli perdre mon poste de chargé de communication de l’association .Je ne pouvais rester un instant dans l’ordre des bienfaiteurs sans y penser un instant passer de l'autre coté à faire une plaisanterie. Cette fois mon point de mire fut le président lui-même .Attablés autour d’un bon plat de couscous tout le monde était occupé à surpasser l’autre tellement le met était succulent.
    je me voyais de loin égaler celui qui était à coté de moi dans la même assiette. Et ce n’était que le président que je ne croyais aussi gourmand. Il me fallait faire vite ,sinon je me verrais partir le ventre bien vide. Sans attirer l’attention des autres convives concentrés à bien maintenir leurs cuillères dans leurs mains dans une besogne de travail continu . J’ai saisi mon portable et je me suis éloigné de quelques pas de mes compagnons. Et à haute voix, je parlais à moi-même .Allo !!! Si Mohamed ,vous me dites que la wilaya refuse de nous recevoir aujourd hui !! la rencontre n’est pas annulée !! elle est refusée !! ah !! bon ah !!bon et je répétais mes mots pour faire entendre ceux qui me regardaient ahuris tout en laissant tomber leurs cuillères. Le président à cet instant allait prendre un peu de sauce .Sa main resta figer qu’il lâcha l’autre cuillère et arrêta de manger.il s’est vu faire tout ce trajet pour rien. Il me parlait si cela est vrai que la wilaya refusait de nous voir.
    J’ai repris ma place pris ma cuillère et j’ai commencé à gagner ce que j’ai perdu en terrain. Il resta tout surpris qu’il me laissa le plat bien garni à moi seul ;Ce n’est que bien plus tard ,qu’il a compris et qu’il doit remplacer son chargé de communication au plus vite sinon d’ici c’est son poste de Président qui sera en jeu.
  • Bradai
    • 3. Bradai Le 29/05/2013
    DA MA DA OUDER QUIMA IDIR DJEHA .

    C’est ce qui est arrivé ce jour à l’un de nos accompagnateurs qui n’est autre qu’un des organisateurs de la prochaine rencontre à Teniet el hadd..
    Sitôt terminé notre mission auprès de la wilaya qu’on s’est dirigé pour la prière de la salat « el asr » . A la sortie après la prière voilà qu’un de nous B . Abdelkader (un membre organisateur) tarda à nous rejoindre .IL n’a pas trouvé ses chaussures à leur place. On a beau chercher avec lui à droite et à gauche il n’y avait qu’une paire qui se trouvait là abandonnée mais bien petite à ses pauvres pieds qui ont une rallonge plus que la normale.il chausse du 44 et il fallait lui en acheter une autre. Afin qu’il ne salisse ses chaussettes nous l’avons soulevé et porter à tour de rôle jusqu’à la boutique la plus proche d’un vendeur de souliers. Mais arrivé à cette première boutique, il ne trouva point la pointure qui convient.IL a fallu aussi le transporter à une autre boutique et là nous avons pu trouver ce qu’il fallait comme pointure 44 qui convenait à ses orteils un peu spéciales à leurs dispositions écartées.
    En nous voyant sortir un par un de la boutique, il nous appelle et nous lance où est ce que vous allez si vite comme ça ? et il ajouta : ou vous revenez payer le marchand, ou vous allez me transporter jusque chez l’imam pour une daawa . Pour eviter un malheur à celui qui a prit les chaussures de notre ami ,Il nous a fallu cotiser le prix et payer le marchand. Bien heureux de trouver ses pieds sur terre il nous dit qu’il n’aurait fait que comme djeha a fait.
    Et il nous invita à prendre des cafés mais que Hattabi a du payer aussi pour compenser la part qui lui revenait de payer au prix des souliers.
  • visiteur
    • 4. visiteur Le 29/04/2013
    merci l'ami Ferhaoui pour votre réponse. je trouve excellente l'idée de mettre en ligne vos photos de la place au charbon revisitée par vos bons soins. j'en ai trouvé une très belle sur le site "zaccar le point culminant de miliana" où on présente une série de très belles cartes postales anciennes (notamment photos 33 et 34 place au charbon et les 2 bassins des belles sources) dont certaines sont très connues et d'autres plus rares. Impossible cependant aux "cueilleurs de souvenirs" de les copier, le site est protégé. dommage!!!
  • Djabellaoui boualem
    Bonjour,Mme Chantal,rien que pour vous,certains souvenirs s'auréolent d'un joyeux entetement,jusqu'à se rappeler le détail de votre garde_robe de l'époque,si ce n'est,encore,l'élection de miss Miliana lors d'1 fete des cerises ,ou l'heureuse élue s'appelait"Vincent Marcelle" Votre soeur.Avec des cheveux blonds coupés à la garcon,c'était la grande mode à l'époque,aux bras de son jules et dans 1 voiture rutilante faisaient le tour de la ville...La suite te sera rapportée lors des retrouvailles par la Dame,qui vous connait.Beaucoup d'heureux moments vous attendent! Amicalement.
  • CHENGAB KHALED
    • 6. CHENGAB KHALED Le 29/04/2013
    EH OUI YA SI AZIZ.
    COMME LE DIT SI BIEN CHEIKH AZNAVOUR,"LE TEMPS LE TEMPS ET RIEN D'AUTRE.LE TIEN LE MIEN CELUI QU'ON VEUT NOTRE"...... ET D'AUTRES BELLES STROPHES DANS LE MÊME REGISTRE.JE CRAPAHUTAIS AU PIED DE L'AMONT QUAND VOUS VOUS CONCLUIEZ EN AVAL.C'EST COMME CA LA VIE,PLEIN DE GENERATIONS SE SONT SUCCEDÉES DANS CE BEL ETABLISSEMENT AVANT D'ALLER AVEC FIERTÉ PEAUFINER D'AVANTAGE CE SAVOIR ET EMBRASSER LES CARRIERES QUI SONT LES LEURS.AUJOURD'HUI LA MAGIE INTERNET A RENDUE POSSIBLE L'INIMAGINABLE IL Y A QUELQUES DECENNIES.NOUS VOILA TOUS REUNIS, TOUTES GÉNÉRATIONS CONFONDUES SUR CE SÎTE AVEC CE MÊME DENOMINATEUR COMMUN,LE LYCÉE ET LES SOUVENIRS DE CES BELLES ANNÉES PASSÉES EN SON SEIN.J'EN PROFITE POUR SOUHAITER A MON TOUR AUX ABDOUNATES D'EXCELLENTES RETROUVAILLES.BONNE JOURNÉE.
  • aziz
    • 7. aziz Le 29/04/2013
    Ya Si Khaled, en 69/70, vous étiez en 5eme au lycée Ferroukhi, cela ne me rajeunit pas, car je finissai ma licence cette même année !
    Pour les Abounouates, je vous souhaite une journée splendide en tous points de vue pour ce 1er Mai. Puisse cette journée être resplendissante et vous combler de joie et de moments heureux àl'occasion de ces retrouvailles tant attendues, dans cet havre de paix et de culture qu'est votre lycée. Pour ceux d'entre nous qui ne pourront pas partager ces delicieux moments, nous serons tous présents, parmi vous, par la pensée.
    Avec toutes mes chaleureuses pensées, depuis le froid et la grisaille d'Amsterdam.
  • ferhaoui
    • 8. ferhaoui Le 28/04/2013
    bonsoir l'ami le visiteur,au sujet de laplace au charbon les années 1970 eut lieux pour les besoins du tournage d'un film,on a réactivé une facade:de forgeron et une autre celle du teinturier l'ont utilisaient couramment au moins jusqu'au milieu du siècle . tous les décors en trompe l' oeil en toute humilité j'étais le réalisateur de ce décor ( je garde toujours les documents photographiques.) pour l'histoire et le plaisir des yeux ils paraitront sur site après les retrouvailles ...oran l'ami ferhaoui.
  • CHENGABKHALED
    • 9. CHENGABKHALED Le 28/04/2013
    LE COPIAGE,ET SI ON EN PARLAIT UN PEU..........IL DOIT Y AVOIR DE BELLES ANECDOTES A RAPPORTER.
    AINSI COMME LORS D'UNE CONVERSATION ENTRE ANCIENS,UNE ANECDOTE APPELANT TJRS UNE AUTRE.CELLE DONT JE VAIS VOUS FAIRE PART EST EN RAPPORT AVEC CE SUJET......... JUSQUE LA TABOU........LE COPIAGE.LA SCENE S'EST DÉROULÉE COURANT 69/70.J'ETAIS EN CINQUIEME ET LORS D'UNE INTE
    RROGATION ECRITE EN HISTOIRE DONT LA MATIERE NOUS ÉTAIT PROFESSÉE POUR REPRENDRE UNE VIEILLE EXPRESSION ,PAR MONSIEUR ABOU GHLIBA.UN PROF D'UNE GRANDE RESERVE.BIEN QU'ON PERCEVAIT CHEZ LUI,IL Y A DES SIGNES QUI NE TROMPENT PAS ET ALORS QU'IL N'EN FAISAIT JAMAIS ETAT EN DEHORS DES COURS D'HISTOIRE RELATIFS A CETTE REGION,DES INQUIETUDES ET DES INTERROGATIONS DUES AU DRAME QUE VIVAIT ET QUI PERDURE DANS UNE AMPLEUR BEAUCOUP PLUS IMPORTANTE SON PAYS,LA PALESTINE. J'AI BIEN ENTENDU AVANT CE RENDEZ-VOUS DONT JE SOUPCONNAIS L'IMMINENCE PRIS LE SOIN DE TRANSCRIRE A L'ENCRE ROUGE SUR MON PETIT CARTABLE COULEUR MARRON FONCÉ L'ENSEMBLE DES COURS POUVANT FAIRE L'OBJET DU CONTROLE INTERMEDIAIRE.
    J'AI AUSSI ET AFIN D'OPTIMISER MES CHANCES DE REUSSITE (SI L'ON PEUT APPELER CA AINSI) ET NE RIEN LAISSER A L'IMPROVISATION,TOUT VERIFIER AU PREALABLE ET BIEN MIS AU POINT MA STRATEGIE DE COPIAGE,A SAVOIR MA PROXIMITÉ DE LA FENETRE ET LÉTUDE DU MOUVEMENT DES RAYONS DE SOLEIL AINSI QUE LES DIFFERENTS ENDROITS SUR LE PUPITRE,PROPICES A UN MEILLEUR CONTRASTE SUR MON CARTABLE OFFRANT AINSI UNE MEILLEURE LISIBILITÉ DONT JE SERAI LE SEUL BENEFICIAIRE.UN VRAI TRAVAIL DE RECHERCHE QUI S'IL N'ETAIT FAIT A DES FINS NON AVOUABLES M'AURAIT PROPULSÉ AUX SOMMETS DE LA RECHERCHE DU SYSTEME SOLAIRE.CE NE FUT MALHEUREUSEMENT PAS LE CAS,CAR MANQUAIENT A MON OEUVRE DES PARAMETRES QUE LES RUSES DU SORT METTENT DES FOIS DE TRAVERS POUR MIEUX CONTRARIER LES VILAINS DESSEINS ET QUE VOUS DECOUVRIREZ PLUS LOIN DANS CE RECIT.VOUS COMPRENDREZ DONC QUE NI LE CHOIX DE LA COULEUR DU CARTABLE NI CELUI DE LA COULEUR DE L'ENCRE NE SONT ANODINS,SANS IMPORTANCE NI NE RELEVENT DU SIMPLE HASARD.PAREILLE MISSION NE PEUT SOUFFRIR D'AMATEURISME.DONC TOUT A ÉTÉ SOIGNEUSEMENT ETUDIÉ (SAUF LA MATIERE EN QUESTION.MAIS BON ON NE PEUT PAS ÊTRE PARFAIT DANS TOUS LES DOMAINES NON PLUS....).IL NE ME RESTAIT QU'A METTRE DANS LA CONFIDENCE MAIS A LA DERNIERE MINUTE DE PEUR DES FUITES,MON VOISIN DE PUPITRE MR M.B QUI DEUX JOURS AUPARAVANT M'A FAIT PART DE SES INQUIETUDES A L'APPROCHE DE L'ÉCHÉANCE DANS UN LEGENDAIRE ET SURTOUT....... RECURRENT "MANI HAFEDH OUALOU YA MHAYNEK,EZZAGETTE."IL S'EST TROUVÉ QUE J'ETAIS DANS LA MÊME IMPASSE MA REPLIQUE FUT CELLE QUE L'ON RETROUVE DANS TOUTES LES COUPABLES COMPLICITÉ." ANA THANE".

    LE JOUR J ARRIVA ET JUSTE APRES QUE LE SUJET FUT DÉVOILÉ,MON CARTABLE S'EST MIS A CHANGER BIZARREMENT DE POSITION A LA RECHERCHE DE LA LUMINOSITÉ INDISPENSABLE SANS LAQUELLE TOUTE L'OPÉRATION ETAIT VOUÉE A L'ECHEC.IL PRIT LES ALLURES D'UN CAPTEUR SOLAIRE NON PAS DESTINÉ A CREER UNE QUELCONQUE ENERGIE UTILE,MAIS A ALIMENTER CELLE DE DEUX DESESPERADOS DE 13 ANS ENGLUÉS DANS UNE COMPLEXE OPERATION DE COPIAGE.AUTOUR DE NOUS REGNAIT UN CALME PRESQUE MEDITATIF PROPRE A CES JOURS OU L'ON EST SOMMÉ PAR LA CRUELLE OBLIGATION DE PLANCHER NOIR SUR BLANC L'ETAT DE NOS CONNAISSANCES SUR LES MATIERES ET OU LE SILENCE EST PLUS QU'INDISPENSABLE POUR LA CONVOCATION DE LA MÉMOIRE QUI DES FOIS..........SE MELE LES PINCEAUX.D'AUTRES COPIEURS DONT JE TAIRAI LE NOM QUOIQU'IL Y AIT PRESCRIPTION MAINTENANT,DES ARTISTES EN LA MATIERE, FINALISAIENT AVEC UN ART CONSOMMÉ UNE AUTRE APPROCHE DE COPIAGE.ON PEUT DIRE QU'IL Y AVAIT PARMI EUX QUELQUES ELEMENTS PRECURSSEURS DANS L'ART DE L'ECRITURE EN MINIATURE COMME DES PENSES BÊTE DESTINÉS A COMBLER LES ENDROITS OU LA MÊMOIRE S'EGARE. MALHEUREUSEMENT LES ELEMENTS FAVORABLES N'ETAIENT PAS LA OU ON LES ATTENDAIT,LE SOLEIL DEVAIT CERTAINEMENT ECLAIRER LES CIMES DU ZACCAR,TOURNANT AINSI LE DOS A DEUX APPRENTIS COPIEURS.ILS SE SONT PLUTOT ACHARNÉ CONTRE NOUS .LE CIEL ETAIT GRIS ET LES QUELQUES RAYONS DE SOLEIL QUI DAIGNAIENT BIEN SE PROJETER SUR MON COUPABLE CARTABLE ETAIENT PLUTOT TIMIDE ET TRES FURTIFS.L'IMPATIENCE DE MON COMPLICE ET SON AGITATION NEVROTIQUE FERONT LE RESTE.LES MINUTES S'EGRENAIENT ET L'IMPATIENCE DE MON VOISIN SE TRANSFORMAIT COMME LA MIENNE D'AILLEURS EN UNE NERVOSITÉ QUE RIEN NE JUSTIFIAIT DANS UN CADRE PAREIL PLUTOT EMPREINT DE SILENCE DE CALME DE REFLEXION ET DE SERENITÉ.

    LA RARETÉ DU SOLEIL EXACERBA MON IMPATIENCE, ET MES MOUVEMENTS A LA RECHERCHE DE CETTE ENERGIE SOLAIRE TANT CONVOITÉE QUI AURAIT PU DOPER LA NOTE FINALE FURENT VAINS.REDUITE AU RANG DE COMPLICE MALGRÉ ELLE PAR LE COUPABLE DESSEIN DE DEUX COPIEURS,ELLE SU SE REBIFFER. LES GRINCEMENTS DE MA CHAISE ET LES INCESSANTS RAPPROCHEMENTS DE CELLE DE MON VOISIN REDUISANT A NÉANT L'ECART QUI DEVAIT NOUS SEPARER, TOUT COMME SES LEGERS COUPS DE COUDE ET SES ELONGATIONS DU COU FRISANT LE TORTICOLIS EN DIRECTION DE MA COPIE TOUTE AUSSI VIERGE QUE LA SIENNE DEVINRENT UN PEU TROP SUSPECTS POUR ÊTRE NORMAUX AUX YEUX DU PROF QUI MULTIPLIA LES ALLERS RETOURS DANS NOTRE RANGÉE JUSQU'A CE QUE LE POT AUX ROSES SOIT DECOUVERT.
    J'EUS DROIT A UNE CORRECTION EN LIVE ET D'UN BEAU ZERO LUI AUSSI A L'ENCRE ROUGE COMME SEUL CONTENU DE MA FEUILLE D'INTERROGATION.SANS OUBLIER BIEN SUR CETTE DECLARATION PLEINE A LA FOIS DE BON SENS ET D'HUMOUR DE LA PART DU PROF,LUI QUI PARAISSAIT SI RESERVÉ.
    "ELLI GHACHANA LAYSSA MINA,MONSIEUR CHENGAB NOUS A RAMENÉ DES SIECLES EN ARRIERE.A L'ÉPOQUE DES PARCHEMINS ET DE L'ECRITURE SUR DES PEAUX.NOUS REVISITONS L'HISTOIRE MAIS QUAND MÊME,IL N'A JAMAIS ÉTÉ QUESTION DE FAIRE REVIVRE SES USAGES".
  • Bradai
    • 10. Bradai Le 28/04/2013
    Rue St Paul, Ce jour là Sahi, l’Ancien Élève du Lycée avant d’être surveillant général des années 70 faisait en cette fin d’après midi dans cette rue principale à l’ombre des platanes où il était agréable pour chacun de se promener à n’importe quel moment de la journée, sa dernière et habituelle promenade avant de regagner son quartier... Cet après midi à part quelques passants, la rue ne grouillait pas de monde comme à ses habitude et dans cette même rue splendide le hasard a voulu que deux élèves bien connus de lui sont là tout joyeux descendant à gambader une liberté méritée. Tous les trois se sont croisés en un endroit de la rue. Et Sahi leur surveillant général les a vus, il les a bien reconnus. Qu’à cela ne tienne entre eux,s' Il n’y avait aussi à peine que quelques centimetres pas plus qui les séparaient. Nos deux élèves l’ont vu aussi. La surprise était des deux cotés. Une surprise totale où chacun savait de l’autre ce pourquoi inouï d’une surprise dans une rue ordinaire Nos deux élèves continuant leur chemin comme si de rien n’était ne lui ont même pas adressé un salut de politesse comme s’ils ne le connaissaient même pas ou du jamais vu de leur vie. Mais dés qu’ils l’ont dépassé ils se sont vite éclipsés dans une autre ruelle plus proche. Sahi en gentlemen a cru bon de ne pas les interpeller en pleine rue. C’était l’erreur fatale qu’il a commis avec ses deux lascars .Aussi vite qu’il put marcher, il regagna le lycée en un clin d’œil .Juste arrivé à la surveillance qu’il appela Djebbour dit « Mohamed khouya » maitre d’internat de service. Il lui ordonna .Djebbour tu vas me ramener tel et tel élève .Je les veux à l’instant même devant moi. Djebbour dit « Mohamed Khouya » resta figer sur place un instant ne savant quoi dire où à quel saint se vouer, ses deux genoux se sont joints ont fléchi mais se sont maintenus tant bien que mal pour soutenir son poids. Comment va-t-il faire, Il n’aurait pas du les laisser sortir même si c’était ses meilleurs copains.
    Ils l’ont supplié à pleurer qu’il a fini par avoir pitié d’eux en leur a accordant quelques heures de liberté , prenant le plus haut risque sur son dos avec le gardien. Maintenant c’est lui qui va payer les pots cassés. Feignant de les chercher en se donnant la peine d’aller partout du haut de tout les dortoirs et à l’intérieur des classes. Qu’Il ne cessait de répéter à chaque pas qu’il faisait ; »je n’aurais pas dû !!!je n’aurais pas dû les laisser sortir !! c’est ma faute . c’est ma faute .Voilà ce qu’il m’en coute de me fier à eux. Où vais les trouver à ce moment même. Et de salle en salle et à chaque recoin du lycée il voulait faire croire qu’il les cherchait vraiment tout en sachant que ses deux camarades se font du plaisir dehors. L’histoire dont s’est fourrée « Mohamed KHOUYA » était. Ce jour là il y avait un spectacle au lycée, et les élèves ont à choisir ceux qui veulent sortir en ville et ceux qui veulent rester pour le spectacle. Nos deux élèves malicieux ont préféré les deux : à vouloir le beurre et l’argent du beurre en même temps. Et c’est ce qu’ils ont obtenu .Apres le spectacle ils se sont retrouvés libres dans la rue de la ville.
    Nos deux élèves ne tardèrent pas à arriver au lycée juste après le surveillant général . Ils poussèrent la porte d’entrée sans se faire voir ou remarquer .Fort heureusement pour eux la porte de la surveillance ou se trouvait Sahi en attente dans son bureau n’était pas entre ouverte mais fermée.ils se faufilèrent et là au couloir ils trouvèrent Djebbour dit « Mohamed Khouya » tout en haleine. Il leur expliqua la situation.
    La solution fut vite trouvée par le plus malicieux. Il dit à moha Khouya » tu vas dire à Sahi que je les trouvé ; quand il te dira où ; Tu lui diras : Dans la salle 7, celle qui est prés des douches.
    IL en fut ainsi. Voilà Sahi qui s’emmène trainant derrière lui « Mohamed Khouya. »Ouvrant la porte de la salle 7 il les trouva là chacun à une table .il les questionna. Êtes-vous sorti en ville. chacun nia ;il leur répéta une deuxième fois. Ils se regardèrent et nièrent avec sang froid qu’ils n’ont pas quitté du tout le lycée et que pas mal de gens se ressemblent .Réfléchissant un peu Sahi eut une autre idée de coincer ces deux lascars. Une autre preuve en tête qui en vaut sa chandelle lui vint en idée . Il leur demanda de le suivre à la surveillance. Le plus malin des deux eut le pressentiment qu’il va y avoir confrontation directe et traina la patte en peu en arrière pour avoir à qui parler comme avocat à leur cause. Dans ce temps de durée qui séparait la porte de la surveillance à la chaise de SAhi , l’élève était comme un éclair dans la loge du gardien. Il lui dit : Ecoute je viens d’entendre dire de Sahi le surveillant général, si jamais le gardien prétend que c’est lui qui nous a laissé sortir croyez moi que c’est son dernier jour au lycée et son contrat sera résilié à l’instant sans qu’il puisse attendre une minute. Et sans lui ajouter une parole de plus aussi vite qu’il put courir pénétra à la surveillance avec les autres. Dans son bureau en face de lui les deux élèves, il ordonna une deuxième fois à Djebbour de lui ramener le gardien de l’après midi.
    Une fois le gardien présent devant lui,Sahi lui demande :est ce que tu as vus ces deux élèves que tu vois devant toi sortir de la porte du lycée. Le gardien resta quelques instants bouche bée à la question et se rappela ce que venait de lui dire l’élève bienfaiteur.il répondit avec froid : Non Mr Sahi je ne les ai pas vu sortir du tout et je le jure sur ma femme que ces deux qui sont là devant moi ne sont pas sorti de la porte du lycée.
    Quand un homme marié jure par sa femme c’est qu’il faut le croire même s’il vous dit « j’ai vu une chèvre volait avec deux ailes en plein ciel. »
    Sahi n’en croyait ni à ses yeux ni à ses oreilles. Ils l’ont entendu dire. Je crois dire que je peux prétendre aujourd hui que j’ai rêvé une fois dans ma vie en plein jour ce que je ne croirais jamais un jour que j’ai réellement eu en rêvé ce que j’ai vu et vécu de mes propres yeux..
  • Refine Abdelkader
    • 11. Refine Abdelkader Le 07/03/2012
    Une anecdote pour Mr Abwahab (ancien Surgé.on l appelait ainsi à l epoque) avec un tres grand Bonjour: c' etait aprés les vacances du printemps 19...Ayed et moi avions rejoint le lycee une semaine apres la date d entreé prevue((ecole buissonniere...). reglement oblige on devait passer par la Surveillance Gle pour un bon d entreé en classe. On se présente devant Mr Abelwahab! Ah! vous voila messieurs o'u etiez -vous toute cette semaine ? Mmmrrr!!faute de moyen de transporttton a pas pu rejoindre le lyceé à la date ppprrevue..on a meme du faire de l auto-stop : LE CHAUFFEUR DU CAR SNTV nous a fait RRça :" je lève les mains, les croise ,et les décroise en l air "(ce en guise de nous dire complet...) Ah! il vous a fait ça...alors moi je vous fais ça ...il pointa du doigt la porte...SORTEZ!!! 4 Dimanches ...ainsi nous fumes privés de sortie pour 4 semaines.! Reglement oblige. Avec un tres grand RESPECT Monsieur ABDELGHANI. Aek Refine.
  • BENAMEUR djelloul
    • 12. BENAMEUR djelloul Le 03/03/2012
    Thankx NORIA For this Web Site wich you have made togather the paste with the présente..I wish for you all the best things & à lenthly lif...Thankx for all you have done for Us...it's So Wonderful....Freindly....
  • refine-kader
    • 13. refine-kader Le 03/03/2012
    Le contenu du bout du papier... Amicalement. Noria
  • Refine Kader
    • 14. Refine Kader Le 03/03/2012
    le contenu du bout de papier je ne vous le dis pas,. sinon vous allez me prendre la moitié de la note neanmoins puisque vous etes l initiatrice de la belle initiative je vais vous le dire : en histoire il contient toutes les dates historiques notamment celle du 1er Mai 2012 en Geo le Lycee Mustapha Ferroukhi lieu du Savoir et Miliana la belle Ville des cerises.
  • Refine Kader
    • 15. Refine Kader Le 03/03/2012
    Une deuxieme anectode mais surtout n allez pas me prendre pour un gourmand n est ce pas Noria ... en cours d histoire/geo Kouskoussa Ouis et moi partageons la meme table .profitant de l inattention du prof. je sortis de ma poche un petit bout de papier plié dix mille fois ce attira mon compagnon de table lequel me demanda de lui passer ce petit secret NON! il me le demanda une deuxieme fois NON!! passe moi SINON JE TE DENONCE.. AH!! OUI! je prends le bout de papier , le jette dans ma bouche ,et, sans le macher , je l avale VOILA CHEKEM!! CHEKEM!!! lui avais-je repondu...avec les nerfs.... MALHEURESEMENT et cest avec une Grande Peine que j annonce la douloureuse nouvelle ; OUIS A terminé ses etudes superieures en catastrophe impliqué à tort dans une grave affaire il fut victime d un choc psychique ce qui boulversa son etat mental , sa profession ( medecin).... il avait une soeur FADHELA au Lycee Mohamed AbdouRE
  • Refine Aek
    en souvenir des deux BOUCEBSSI DJAMAL ET SON FRERE cette anectode avec un grand BONJOUR ; au refectoire, on etait huit par table ,avec un chef de table evidemment ,comme par hasard j etais chef de table j avais mis à mes cotés les deux BOUCEBSSI .Ces derniers etaient Végétariens... vous avez compris la suite... AMICALEMENT Refine.
  • Bradai
    • 17. Bradai Le 27/02/2012
    N'est ce pas un dimanche vers les coups de 11h 30 et midi monsieur Hattab.
    si c'est le dimanche.On se rappelle bien ce jour là. C'etait un jour ensoleillé.
  • HATTABI
    • 18. HATTABI Le 27/02/2012
    Permettez-moi chers amis d'évoquer cette journée de l'année 68 ou 69 où il y eut un tremblement de terre.Nous étions en étude quand nous entendimes un bruit étrange suivi d'un séisme qu'on a pas vu auparavant .Tout le monde se précipitait à la sortie des locaux et on se bousculait au seueil de chaque porte. Et,je me rapelle,exactement de la phrase prononcée d'un accent cherchelois par l'un des BOUSSEBSI : " Ekherdjou elpflafo tsersek." Ceque voulait dire (Sortez le plafond s'est fissuré).Tous les élèves se sont réunis dans l'unique cour du lycée et rappelez-vous tout le monde ,en une seule voix chantait : RAANA HNA WE EDDENIA MAZAALHA TWILA.
    • 19. Le 24/09/2011
    malgrè que il ya la difference des annèes mes les anecdotes sont presque les memes .moi je rends hommage a notre prof de philo melle abdelwaheb
  • Bradai
    • 20. Bradai Le 23/09/2011
    En souvenir d'un ami que je n'ai plus revu voila bien des années.

    Un jour de cours d'arabe,dans cette salle que sa fenetre donne à la rue qui descend vers l'hopital tout pres de cet immeuble HLM envoisinant le lycée le prof "CHEIKH" Mahfoud nous faisait son cours de litterature et on devait connaitre l'auteur du texte.Il nous aida de deux de ses initiales au debut un "alif" et au milieu d'un "B"apres quatre lettres inconnus .Ce n'etait pas un jeu ,cela entrait dans le cours.
    Pensifs embarrassés de trouver la reponse au plus vite.on se demandait qui pouvait bien etre cet illustre personnage de la litterature arabe.
    Quand une voix s'éleva du fond de la classe .J'ai trouvé LE NOM Monsieur.
    C'etait l'éleve Adib,le plus calé en arabe .Le plus petit de nous tous.Il peut se jouer du plus fin malin qui soit au lycée.
    Tu as trouvé le nom Adib? Questionna Cheikh Mahfoud.
    Oui monsieur j'ai trouvé le nom illustre.
    le prof nous lança, vous voyez les gens qui veulent travailler on les trouve toujours assis derriere.
    Et l'élève Adib tout calmement comme dans ses habitudes. DIT:
    C'est IBLISS monsieur.
    Là Cheikh Mahfoud fut hors de lui.
    Et avec tout ce qu'il a trouvé devant lui comme chose dure fut reçue sur la tete de notre héros de bienfaiteur.
    tout en le frappant,il ne cessait de repeter .Alors comme çà tu prends ILIA ABOU MADHI POUR IBLISS. C'est bien toi le premier IBLISS que j'ai rencontré.
    Notre ADIB fut bien tabassé ce jour là.
    Trois jours plus tard dans la meme classe ,on entendit ce pauvre Cheikh Mahfoud poussait un cri de douleur à fendre le coeur. Il s'est assis sur une punaise tombée du ciel.


  • Bradai
    • 21. Bradai Le 24/08/2011
    Deux anecdotes du lycée Mustapha Ferroukhi telle qu'elles me furent contées .
    La premiere.
    Au moment d' une heure de cours de physique,la prof énervée par le comportement d'un élève au nom de FESSIER pria ce dernier de prendre la porte.
    (façon de dire à l'élève de quitter la classe).
    L'élève Fessier lui répondit ;
    "Que pourrai-je bien faire avec cette porte Madame?"

    la deuxieme.
    Un parent d'éleve du village borylie la Sapie aujourd'hui Ouamri est venu faire sortir son fils .
    Ce jour là,il était consigné et il le fit savoir à son père .
    Son pere lui demanda qui en est responsable des sorties,le fils lui dit c'est "Brosse à dents".
    Brosse à dents était le surveillant Général et il doit ce surnom à ses grosses moustaches fondantes sur ses lèvres.
    Alors ,arriva notre brosse à dents et le père fut tout heureux de lui serrer la main en lui disant " Monsieur Brosse à dents bonjour heureux de faire votre connaissance.
    Brosse à dents jeta un regard bien bas vers l'élève qui comprit aussitôt son erreur .
    Que puis je faire pour vous monsieur dira Brosse à dents .Le père répondit .Je suis venu faire sortir mon fils.
    La colère dans ses yeux à cause du surnom il lança au pere:il n'en est pas question cette fois, votre fils est consigné et il est bien là ou il est.
  • Bradai
    • 22. Bradai Le 16/04/2011
    Dans ces couloirs du lycée,ou leurs espaces furent pour nous internes des airs de jeu nous rappellent un petit peu des passages qui ne peuvent s'inscrire au tableau mais restent en mémoire.Unjour, l'eleve s'appelait ABDAT RABAH
    était entrain d'être tabassé comme à ses costumés tellement il aimait ce jeu et ce jour là à quatre pâtes face à la terre il etait entrain de se relever juste à ce moment precis arriva Mr KOJEVNIKOV le prof de Math et avec son accent russe il lui lança :
    ABA RABA VOUS CHERCHEZ DEMONSTRATION?

  • Bradai
    • 23. Bradai Le 27/12/2010
    On etait en classe dans cette salle 12,qui collait avec le réfectoire des Profs et nous rendions les notes de nos copies de Français.
    Chacun de nous avait sa note bien enregistrée dans sa tête en attendant que son nom soit prononcé par le prof pour la chanter.
    La mélancolie des notes se lisaient parfois dans nos visages et c'était comme un châtiment de faire savoir sa mauvaise note.
    Le cycle d'appel était entame,et juste à cet instant mes idées voguèrent bien en dehors de la salle si bien que mon esprit n'était plus à moi.Le prof lança mon nom et sans m'en soucier de ce que je disais j'ai tout bonnement dit" traze" tout en ayant mon regard planté au dehors.
    Je fus réveillé de mon songe par le fou rire de la classe et que même le prof en faisait de même . ILS RIAIENT ET TOUT LEUR REGARD VERS MOI.
    Par la suite j'ai su que j'ai prononce le chiffre "traze" à la place de treize et ça été comme une bombe tellement il y a eu silence.
  • mirou
    • 24. mirou Le 13/11/2010
    merci mr bradai!que de souvenirs! et quel plaisir de vous lire ;!vous avez une memoire phenomenale!les anciens surtout de djendel sont ravis de replonger dans leurs souvenirs.

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